Entretien exceptionnel avec le père Arturo Sosa
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- Опубликовано: 10 дек 2024
- Confrontations aux crises et aux tensions qui traversent le monde et l'Eglise, discernement et appel à la conversion : le père Arturo Sosa, supérieur général de la Compagnie de Jésus, aborde des questions essentielles pour la mission de l'Eglise aujourd'hui.
A l'occasion du rassemblement de la Famille ignatienne à Marseille à la Toussaint 2021, il rappelle pourquoi il a souhaité ouvrir une « Année ignatienne ».
C'est l'un des rares entretiens accordés à un média francophone, réalisé à la Curie générale des jésuites à Rome avec Étienne Loraillère.
A la remarque sur les évêques qui ne croient pas à l’existence du diable (dont visiblement ce père supérieur général des jésuites), Jean Paul II aurait répondu : «celui qui ne croit pas au diable ne croit pas en l’évangile ».
Merci à ce grand pape de nous rappeler cette vérité qui est malheureusement de moins en moins enseigné depuis Vatican II.
C'est bien ce modernistes qui a dit dans une interview accordée au journal espagnol El Mundo, le 31 mai 2017 a considéré que le « diable » n’est qu’un « symbole » sans réalité. Encore un prêtre qui enseigne que le diable n'existe pas.
Pourtant, le « Prince des ténèbres », ou encore « Prince de ce monde », est très souvent cité dans le Nouveau Testament : on y trouve 34 fois le nom de Satan, 36 fois celui du diable et 55 fois le mot « démon ». Le Christ pratique lui-même des exorcismes pour chasser des « esprits mauvais et impurs ».
L’Eglise, si elle ne fait pas du diable le centre de sa prédication enseigne elle aussi l’existence du démon : ainsi, le IVe concile du Latran, au XIIIe siècle, affirme que « le diable et les autres démons ont été créés par Dieu naturellement bons, mais ce sont eux qui d’eux-mêmes se sont rendus mauvais ; quant à l’homme, il a péché à l’instigation du diable ».
Jésus no cambio el no podia condenar solo amar y perdonar porque no es Jésus quien dara esplicacion cuando muera sino los humanos pecadores
Merci pour cet entretien fort intéressant.Je retiens l'importance de la prière dans la prise des décisions et l'importance du dialogue de même que les tensions font partie de notre vie et celle des autres et de tout temps.J'aime aussi l'idée de la pauvreté choisie car ce fut le choix de Jésus.