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Merci !

C est toujours un grand plaisir d'écouter ou de lire les billets éthiques du Professeur GIL. Merci à vous Professeur, vous que j'ai rencontré la première fois en 2010 accompagnée de mon époux atteint de la maladie d'Alzheimer et qui avez, avec beaucoup d'humanité, su trouver les mots pour ne pas mettre mon mari en difficulté et en échec lors diagnostic et des évaluations. Courage à ceux et celles qui accompagnent leur conjointe, conjoint ou parent, c'est une maladie très difficile à vivre au quotidien.

Se penser et s' assumer mortel, limité, c' est voir et comprendre le monde, tel qu' il est, avec ses limites physiques. C' est la seule possibilité de se savoir et se sentir vraiment vivant, et donc de l' être pleinement, non ? Et donc, en cultivant là son bon sens, la seule possibilité de se préserver de la dégénérescence et de la folie. Ce bon sens qui nous dit que la vie ne s' épanouit que dans et avec la nature, depuis ses origines, comme dans ce qui nous reste avenir. Cette vie factice, ou mort permanente, toute artificielle, engoncée à l' intérieur de clés USB n' intéresse que vous, les faibles, les lâches et les "peine à jouir" qui se voudraient voir toujours "augmentés"... mais se laisseront péniblement aller à la dérive dans les égouts de l' histoire, plus assistés qu' augmentés par ces idiots et dangereux gadgets.

Va en falloir des piqûres et vaccinations diverses et variées pour faire oublier à l'humain qu'il est humain et doit devenir une sorte d'humanoide 🥳🥳🥳🥳🥳🥳🥳🥳🥳🥳

j'ai un proche malade souffrant de schizophrénie. Le port du masque ne le gêne pas et au contraire le rassure en cette période de covid.