Видео

Je signe la pétition

First one see that

Merci beaucoup pour vos lumières.

Merci pour vos explications

🙏💝🙏💝🙏💝🙏💝🙏💝

Le Titre exact est : "DE LA PAILLE DANS LA TÊTE, HISTOIRES POUR DISTRAIRE MA PSY" d' après l'oeuvre de Jean Louis fournier. Conception : Christian Mazzuchini - Réalisation, jeu : Christian Mazzuchini - Marilyne Le Minoux - Adaptation Dramaturgie: Dimitri Mazzuchini - Création Lumière : Eric Valentin - Production: Zou Maï Prod

Bonjour, LE TITRE Exact est: " DE LA PAILLE DANS LA TÊTE , HISTOIRES POUR DISTRAIRE MA PSY" , d'après l'œuvre de Jean Louis Fournier - Conception: Christian Mazzuchini- Réalisation Interprétation: Christian Mazzuchini - Marilyne Le Minoux - Adaptation , Dramaturgie: Dimitri Mazzuchini . Création Lumière Eric Valentin - Production : Zou Maï Prod

On s’est régalé au Toursky , allez y !!!!

Surprenant au départ puis on entre très vite dans le vif du sujet qui mêle burlesque,théâtre de l'absurde et vision nouvelle des contes de notre enfance entre autre. A voir sans hésiter.

🤮👎🏻🤮👎🏻🤮👎🏻🤮

La philosophie de l'absurde est ridicule, datée et facile. Ionesco est un auteur mineur. Descartes, Spinoza, Nietzche, Balzac, Racine, Dostoievski valent la peine d'être lus. John Ford, Kubrick et James Cameron valent la peine d'être regardés. Pour aller au théâtre, il faut aimer ça. Alibi culturel. Bienheureux les rentiers du tourisme de masse et des sorties scolaires.

Je l’ai vu c’était incroyable

Hâte d'être à vendredi !!! Je compte les heures avec impatience ❤❤❤🎉

Apurbo

Sacré nom de Dieu

Je fait parti des idiots que vous avez mentionné. Merci de m'éclairer sur des sujets que je ne voulais reconnaître , que j'avais mal compris ou simplifier. Merci

C’est connu, mais on se fait toujours avoir, le pot de terre contre le pot de fer regarde l’affaire des retraites. Nous avons nos oligarques qui réduisent nos libertés chaque jour, vive le macronisme. Cordialement

Saidou Abatcha

🤍🤍🤍respect

Mieux vaut jeûner entre antivax que picorer avec un collabo triple dosé...

Quand on utilise son énergie avec bienveillance, on ne vieillit pas. L'acculture a fait ses ravages... Merci Monsieur.

Excellente analyse, merci Professeur !

Et voilà les artistes qui pleurent maintenant 🤔

Elle déteste tant son continent. C est du racisme ou pas en fait?

Oulaa ! Ça ne rend pas hommage à ce chef-d'œuvre.. C'est pas bien de faire ça.. 😵‍💫

Protocoles fous et sans logiques. Protocole qui ont violenter le consentement au soin ainsi que notre liberté de penser, de circuler. L’analyser avant que cet obéissance désastreuse ne s’inscrive comme normale et à reproduire pour x raison sanitaire ou autre. Franchement je suis effrayée par la réaction du peuple tant elle a suivi des ordres fous et délétères pour le lien social

Il faudrait que l’on puisse dès à présent analyser d’urgence l’obéissance aveugle que nous avons eu concernant application de protocoles appelés sanitaires

malheureusement une Etoile lointaine n éclaire pas, le soleil lui eclair de façon massif, il nous éblouie même , nous somme tous dans cette nef des fous et nous nous cramponnons et nous y allons tous, et surtout nous ne voulons pas laisser notre place. L homme c est la politique, l idéologie, ok mais je préfère quand même écouté Roland Gori qu' un Macron, par contre concernant les nouvelles technologies alors là j ai très peur pour l avenir de l homme vraiment. désolé pour l orthographe, j ai jamais aimé les cours de Français, je regrette bien aujourd hui.

Nous avons due accepter et aller au delà de notre éducation de remplissage de récipient il y a bien longtemps et jusqu'à une cinquantaine d année. Ma mère m'a dit il fallait taper fort pour que tu comprennes avec toute bonne fois et se considérant comme aimante.... Et cette IA est vraiment ce corrélère. Des moutons .. Alors que l idée d humanité est la singularité de chacun. Merci beaucoup pour cette lumière 🌟🌈🔥

Curieux ce signe extérieur de l'écharpe rouge commune à des gens qui connaissent tout sur l'ingénierie sociale. 😏

Vous êtes le maillon faible.

Merci beaucoup 🙂

Purée. Trop fort le gars.

Des pensées pour la Chine ne montrent en rien que je suis chinois. Peut-être suis-je un objet à féliciter de pouvoir trôner à la surface de mes ordures. Parmi les containers, mon tiers-monde cultivant aussi les séries, ramasse des garanties de transparence à troquer un sourire oublié devant des caméras. La s-tarification reconnaît les identités sous quel genre de projecteur ? Je paye, sans le handicap, le sécurisant capitonné jusqu'à ma bagnole qui caresse mes créneaux dans le prolongement de ma tête, sans pour autant l'alléger. Parceque c'est décidé ? C'est le cadeau du découvert à ne jamais lire "pour solde de tout compte". Ça n'existe pas et je m'abonne au progrès dans la continuité d'une présomption d'innocence à propos de l'avenir de ma mentalité. Cela suivra, c'est sûr puisque je crédite la reconnaissance au mérite; c'est forcé. La promotion n'est elle pas de revenir aux plus vaillants, dotés au plus de moyens de pressions incriminantes sans pouvoir conspirer à leurs fins, ni à faire chanter? Il y aurait une inversion régressive d'une partie des normes, confisquées par les techniques, hors d'une régulation qui pourrait concerner l'éthique, amorcée depuis plus d'un siècle. Des connards égoïstes changent le monde où tend notre humanité qui s'absente à une autre. Le plus con dans la file le rendra stérile. Et il n'est pas difficile à concevoir que leur démolition comme leur maintien, poursuivies dans mon plaisir automatisé, entraînent une multitude à finir sur le carreau. A leur image copiée comme à celle des gens bons, je me sens intolérant d'erreurs dans ce que je dois me dépenser. C'est cette même soif idéale de l'érotisé, qui me fait tenter un pas mais avec l'autre dans une autre direction, moins oublieux que suiveur, aveuglé d'insécurités. Dans ce sarcophage d'où je repose, mort-né, je suis plus qu'un être virtuel, avorté. Je suis un outil et une arme de pouvoir, désormais algorithmé par ces nouveaux instruments dont l'enjeu était annoncé par le meurtre à analyser du philosophe, occulté par ces sombreros. Techniquement, ce n'est pas la mort de l'âme mais une de celle de son esprit. Moi comme élément, je représente une somme de personnes par mes fragments d'activité et je peux compter désormais par les exigences imposées que je suis désormais un réincarné amné-siatique de l'implantation électrique attendue par nos plus jeunes, déconnectés pour soulager nos géniteurs modernes. Autant représentatif, je vous la raconte depuis mon 3 pièces complais, par sentiments et avec force de m'en justifier, s'en rien atteindre. Et je poursuivrai à claquer à mettre la main à mon bidule à y perdre mes heures, satisfait pour moi-même. 🎼Papayapa...! La dimension à apporter semble reportée. C'est flatteur un moi au centre de la périphérie pour un bien que vaut le je, comme la distance de certains substituts à assumer, libre, en paix et désirant dans ce qu'il est. C'est difficile de concevoir dans cette voie d'autres états que celui d'une prime jeunesse. Alors, je retourne à mon projecteur pour observer mes étoiles; il manque à mon monde tout seul et bien assis. Je n'ai plus à me laisser prendre par quiconque à écouter, à ne plus revoir mes mobiles de systèmes fermés dans les échanges; sauf pour le boulot et un peu pour gnaquer. Je ne me souhaite qu'une carte faisant le territoire sans avoir à le comprendre ni même à le parcourir; l'as d'être un enfant qui emporte ses sanglots. Au paradis.

Superbe. Merci, Monsieur Gori.

PROPOS TOUJOURS LIMPIDES.MERCI MONSIEUR DE METTRE DES MOTS SUR L'INCONFORT ,LES MALAISES PHYSIQUES OU PSYCHIQUES QUE NOUS SUBISSONS DANS BEAUCOUP DE SITUATIONS DE LA VIE QUOTIDIENNE.

Un grand merci à vous, Monsieur Gori, pour vos travaux, vos conférences accessibles à tous, votre abnégation et constance . Pour tout ce que vous faites. Je vous découvre, et c'est une "révélation" pour moi , la mise en mots d'un ressenti personnel, de mes maux qui n'y étaient plus accessibles. Je suis psychiatre praticien hospitalier à l'hôpital public, d'obédience psychanalytique, et je ne m'y retrouve plus, je n'arrive plus à travailler dans les conditions qui nous sont imposées, j'ai longtemps essayé de lutter de l'intérieur , pour mes patients, parce que j'étais attachée à la notion de service public, parce que j'ai connu une autre psychiatrie, où la pensée était possible et la parole circulait avec des équipes enthousiastes et nous aidions des êtres en souffrance, nous avions le temps de la singularité. Ce n'est décidément plus possible. Grâce à vous, je comprends que ce n'est pas moi le problème (ce que me renvoie l'institution), que ma dépression (quelqu'un a dit " c'est être sain de ne pas réussir à s'adapter à une société malade" , et non l'inverse) n'est que le symptôme de ce conflit interne, internalisé, cette aliénation et perte de liberté qu'en fait, je cherche au mauvais endroit. Merci par votre parole de m'avoir rendu ma dignité d'être humain, ma liberté. Ma faculté de me penser par moi-même.

00:00 : Intro Richard Martin 06:46 : intro Marie-José (a.k.a Del Volgo) Gori et sa présentat° de Roland Gori + ses œuvres 15:44 : remerciements par R Gori + intro ± 17:30 : sujet ( _Note :_ ± 38:00 : si le protocole ne vous bénéficie pas, vous êtes ramenés à un sentiment de ne pas avoir convenu au protocole, d'être anormal, et cela vous incite à encore plus vous marginaliser et vous auto-censurer, effrayé d'être pointe du doigt comme anormal).

Bravo Richard toujours engagé dynamique amical et fort MERCI

Le Toursky, c'est un rêve qui dure depuis l'automne 1970. C'est une fleur entretenue par Richard, qui porte sur ses épaules l'utopie artistique, seule garante de nos désirs fondamentaux. Le théâtre Axel-Toursky, c'est demain inventé aujourd'hui. Vive Richard, vive son théâtre qui est le nôtre.

Propagande, mensonges. Film de cucks pour des cucks. Évidemment ils ne parleront pas de ces militaires qui ont eu pour ordre de ne pas intervenir…. Le gauchisme est une maladie mentale.

Immense cuck gauchiste

Peter Brook a-t-il des enfants ? .,.,.,.,.,.,.,.,.,.,.,.,.,.,.,.,.,.,.,.,.,.,.,.,.,. . Il n'aurait voulu d'aucun décor. Mais les scènes internationales qui l'appelaient ne pouvaient se permettre ce qu'on aurait cru pauvreté... Il travailla donc avec les plus grands décorateurs. . Pas de décor... Bien sûr ! Le théâtre tout entier en tient lieu. Peter Brook voulait l'espace vide, la scène multiculturelle, l'architecture étant celle de représentations intensément humaines. A-t-il des enfants ? . "Sur le plateau, dans l’espace de la scène, la densité de l’air est tout autre : de là ces voix, ces gestes, ces déplacements aux rythmes altérés de résistances, de réticences ; de là ce statisme vibrant, ces ruptures brutales… De là surtout ces dons, et de quel prix. C’est cette altération de la substance vivante qui rend plus réel, plus conscient et plus précieux pour chacun d’entre nous - acteur ou spectateur - le sentiment de son existence. . Lors d’une représentation idéale, nous ne nous émerveillons plus de ce que nous percevons d’extérieur à nous-même, mais de ce que nous sommes, et de ce que nous soyons… Pour mieux dire : de cette différence de notre indicatif à notre subjonctif, de cet intervalle vibrant et résonnant qu’implique la vie, rendue en son théâtre aussi vraie que virtuelle." Louis Latourre 𝘝𝘦𝘳𝘴 𝘶𝘯 𝘵𝘩𝘦𝘢𝘵𝘳𝘦 𝘥'𝘢𝘳𝘵 (2003) ruclips.net/video/L6tdjf3Jxf0/видео.html

Cette violence technocratique nous interdit de développer l'intelligence issue de l'expérience qui ne relève pas de l'habitude.

Je n'ai pas trouvé le résumé de chaque spectacle de façon écrite. Cela me manque. Pouvez-vous m'aider ?

Merci, Monsieur Gori !

Merci, très riche !

Super votre vidéo, ça fait envie de "revivre" avec vous Théâtre Toursky, Richard Martin et cette belle programmation d'Artistes. MERCI 💙💙💙💙💙💙

Merci de citer Debord, et merci de citer autant en général. J'ai entendu que cela vous était parfois reproché, mais je trouve que c'est non seulement une preuve d'humilité mais également une démonstration des filiations d'une pensée et de son architecture, une façon de manifester l'importance de se mettre en réseau, horizontalement, avec ses pairs même défunts. Passionnant, comme dab !