Видео

Félicitations ! !

Excellent !!! 😎🤩

Bonjour Après moisson un travail du sol est nécessaire pour mettre les graines en germination? Et y a-t-il pas des risques d’égrainer la céréales avec le semoir à engrais quand la céréales est mûre ?

1:10:00 je cite : "depuis plusieurs années on vas checher des ressources génétiques pour répondre à de nouvelles maladies qui ne sont pas ENCORE présentent, mais qui risquent d'arriver avec le changement climatique." Comprendre : On a les maladies en stock dans nos labos et on vous vendra les seules plantes (que l'on aura inventé et brevetées) qui seront capables d'y résister, autrement dit vous serez OBLIGÉS d'en passer par là pour nourrir la population

Je m'arrêterai bien à 27:10min quand j'ai entendu cette ineptie , je cite :"jusqu'à ce quelle fasse 600 kilos ,une vache ne fait qu'emettre du carbone..." Non mais , quelle heresie

Mais du coup , quand le consommateur achète du lait entier dans la grande distribution, c'est bien du lait "entier" ?

Juste un peu de délire!!!!!!!!!!!!.......................

Cinéma informatif pubbbbbbbbbb.................... Si t'achètes c'est que t'es bon...................... Autrement dit .... comment apprécier la langue française qui permet de dire facilement tout et rien du tout... Nous avons un éminent prof du genre qui s'appelle...... tiens tiens... E. Macron........ Pour lui ç'à eu marché et même couru...... Si t'achètes pas c'est que!!!.............................................

La luzerne fait le bonheur de la bête surtout les vaches

Bravo l'animal trouve l'extrême bonheur à travers les mélanges fourragers

Réponses aux questions : Intervention de Jean-Louis Durand : Teddy RIOUFREYT : Pourraient-on donc caractériser les mécanismes de concurrence et d'agressivité, de et dans chaque espèce de façon différenciée ? La question est avant tout de définir pour quelle ressource il y a concurrence possible et la lumière est de premier ordre. De sorte que c’est la morphogenèse aérienne et la vitesse de déploiement du feuillage qui distingue d’abord les espèces, les variétés et les individus. Cette morphogenèse fait donc l’objet de description et de simulations dont les paramètres sont quantifiés systématiquement (phénologie, allongement des organes, ramification…). Ensuite, la morphologie et la vitesse d’installation du système racinaire est aussi prise en compte. Intervention de Jean-Louis Durand : Teddy RIOUFREYT : A l'avenir, il sera donc possible de construire des mélanges non pas à partir de variétés déjà sélectionnées, mais de sélectionner des variétés dans l'objectif de créer un mélange précis ? C’est précisément l’objectifs de nos recherches, encore très amont, sur les méthodes de sélection pour les mélanges. Intervention de Jean-Louis Durand : Pascale Faure : à partir de quel écart considère-t-on que les plantes ne sont pas synchrones ? La précision de la précocité est d’environ 2 jours. Dès 5 à 6 jours, la différence semble commencer à compter pour la dynamique de végétation. Intervention de Vincent Béguier : Laurent VICTOR : Y a-t-il intérêt à évaluer y compris en mélange de nouvelles espèces de type exotique ou plus méconnues face à cette situation de réchauffement climatique ? A ce jour les plantes sub tropicales de type graminées en C4, qui pousseraient davantage en été se sont révélées trop sensibles aux période de gel de nos régions tempérées. La variabilité génétique, notamment sur la phénologie et identifiée chez les plantes européennes est encore très largement sous-employée par les programmes de sélection. Intervention de Vincent Béguier : Bernard DAUDET : Pouvez-vous préciser ce qu'est la dormance, pour la luzerne par exemple, Merci ? La luzerne est une espèce qui pousse tout le temps. En théorie, l’espèce de base peut faire une coupe tous les mois, si les conditions climatiques le permettent. Quand elle s’est étendue, elle a rencontré des régions froides. Lorsqu’il fait froid la plante, ne peut pas pousser. Nous avons alors besoin de matériel plus dormant. Une luzerne non-dormante = dormance 12 = une coupe tous les mois Une luzerne dormance 1 = 1 coupe/an, pousse de juin/juillet/Aout = reste de l’année elle dort Essentielle des variétés en France, Dormance 4, commence à pousser au mois de mars et fini en septembre = 4 coupes Dormance 7-8 s’arrête de pousser deux mois l’hiver. Intervention de Vincent Béguier : Pascale Faure : en réutilisant des fétuques anciennes, est ce qu'on n'a pas de souci de souplesse des feuilles ? Dans l’ensemble du mélange, moins de difficultés. C'est un critère important, par exemple Noria est une variété qui reste semi-souple. Cependant, elle a une dynamique de pousse très particulière (intéressante). Le but est d’avoir des types proches mais amélioré sur ce problème de souplesse de feuillage. Pour éviter les refus des animaux (espèces peu appétente). Elément important, auquel il faut faire attention. Noria reste une souplesse acceptable à l’échelle mondiale. Séance de questions/réponses : Béatrice Colleu : Toutes les références M les mélanges sont-elles désormais passées en mode "praise", avec différentes variétés pour chaque espèce ? La volonté est d’apporter une diversité intraspécifique lorsque que notre code génétique le permet. Nous tendons vers ça, cependant aujourd’hui tous nos mélanges n’ont pas cette notion d’intra spécificité. Il y a une barrière règlementaire, un composant d’un mélange doit être présent au minimum à 5%. Quand on a beaucoup d’espèce, avoir au moins 5% peut nous limiter sur l’approche. L’entreprise doit s’adapter à ces normes. Il faut aussi prendre en compte les variétés disponible (approvisionnement) et leur volume lors de la conception. Béatrice Colleu : Quelle est la sélection pour supporter aussi des hivers et printemps très humide ? Il faut un travail sur la souplesse d’exploitation, des sélections qui démarrent plus tôt pour supporter des hivers et printemps plus humides. Recherche de variété plus précoce. Teddy RIOUFREYT : Pourquoi ne pas abandonner la capacité de production des fourragères aux périodes très/trop difficile (ex : été/sec), pour essayer de les faire produire plus aux périodes plus propices ? En zone tempérée, et dans de nombreuses régions herbagères, il est toujours plus intéressant d’avoir des variétés qui peuvent valoriser les pluies estivales et reprendre le plus vite possible au retour de la période humide automnale. C’est pourquoi il est important d’intensifier l’effort de sélection pour cette période en effet moins productive. La situation est tout autre en zone méditerranéenne où toute production estivale est à éviter car elle met en danger la pérennité de la culture. Nous venons de montrer d’ailleurs qu’il est possible de sélectionner des variétés plus productives au printemps et en hiver et aussi dormante en été. Eric Pretot : avec les changements de périodes de production, ne craignez-vous pas des problèmes d'inscription au catalogue français ? (ctps) On peut inscrire des variétés plus précoces dans le catalogue, si l’usage se développe, il y aura plus de dépôt. Le catalogue le permet et le CTPS a des critères qui évoluent au cours du temps. L’outil permet de s’adapter aux évolutions climatiques. Si vous avez d'autres questions n'hésitez pas!