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C’est une très bonne idée et j’espère que cela attirera du monde ! 🥰

La deuxième partie de cette vidéo est disponible sur ma chaîne dans mon programme de souscription. J'ai créé une "offre Prépas Scientifiques" vous donnant accès à des analyses sur votre programme (Eschyle, Spinoza, Edith Wharton) pour 4,99€. Pour y accéder, il vous suffit de cliquer sur le bouton "Rejoindre" sur la page de ma chaîne. Ce programme vous permet également de me soutenir financièrement pour mon travail, il reste moins cher qu'un manuel ou un cours particulier mais m'aide énormément ! 🫶 En rejoignant ce programme, vous serez également garantis d'avoir une réponse à vos questions sur les oeuvres dans l'espace commentaire 🙏

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Bon je m'exprime pas aussi bien que les commentaire mais tant pis merci vous m'avez fait comprendre tout mes cours de français

J'ai fait du théâtre et j'écrivais les textes de la troupe. Aux ingrédients de Hugo, on rajoutait du suspens, de l'intrigue. En résumé, faire rêver, faire rire, faire peur, donner à penser et tenir en haleine (influence anglo-saxonne). Mais je croyais que ce désir d'être complet venait de plus loin dans le temps, je ne savais pas que nous le devions à Hugo. Mis à part son attitude hautaine ( est-ce le 19ème, qui pousse en lui sa corne?) c'était bien vu. Merci m'sieur. Et surtout merci à vous, j'apprécie énormément vos petits rappels en forme de clin d’œil. Ps, je suis un homme mais j'aime aussi les histoires d'amour qui me mettent l'émotion à la gorge.

Très bonne présentation ! Je ne savais pas qu’il avait « segmenté « le public ainsi . Ça peut paraître assez misogyne et élitiste comme façon de définir les différents publics mais j’ai bien une préférence pour la tragédie ! 🥰

Manger m'est un plaisir assez immédiat qui à sa satisfaction m'est plaisant :)) Il y a des années, suite à quelques soucis volants en escadrilles... j'eu donc une période en particulier ou parfois, en fin de mois, je ne mangeais que peu, ou même pas pendant deux ou trois jours (3 vraiment au maximum, c'est déjà quelque chose), Il y a avait rapidement à là suite de ces moments, un réel plaisir à l'achat, une certaine impatience ; et surtout : une apothéose certaine à la consommation des aliments, même plutôt mauvais gustativement parlant. Donc, je suis assez partagé sur le sujet. Mais j'y verrai d'avantage un certain plaisir fugace et soudain, avec peut-être, dans le temps, une forme de projection imaginative certaine dans la concrétisation de ce même bonheur ; qui elle peut aller plutôt en longueur, même plus terriblement tourner à l'obsession, surtout quand en été, vous n'avez pas mangé depuis quelques jours :S

Bonjour , je vais faire un pas de côté et faire un parallèle avec une soirée festive pour laquelle on se prépare le cœur battant. Hélas même si tout est réuni pour que les choses se passent bien, l'étincelle ne surgit pas et la fête qui promettait tant, laisse un goût amer. Au contraire, il arrive cependant qu'on n'ait rien préparé, que tout se décide au dernier moment et que les convives n'aient même pas changé de tenue et pourtant la magie est au rendez-vous qu'on ne savait pas lui avoir donné. Je parle d’expérience, ce sont là souvent les plus belle fêtes. Le bonheur c'est quand la vie nous fait une surprise. En fait, je ne suis pas allé au bout de mon idée. La véritable conclusion est une surprise ... que nous sommes prêts à accueillir, parce que nous sommes dans une bonne disposition d'esprit, donc, ne pas chercher le bonheur mais être assez confiants pour savoir le recevoir. C’est un art simple à dire mais difficile à mettre en œuvre.

C’est étonnant de modernité :) Merci pour ce petit exposé !

On confondrait pas le plaisir, voire la joie, avec le bonheur ? Ni Pascal ni Rousseau (que j'adore) ne me semblent parler du bonheur. Prendre conscience de mon bonheur m'a été donné quand peur, colère et tristesse m'ont envahi dans l'une de ces épreuves de la vie où ces émotions exacerbées vous assaillent, au point que mon épouse inquiète m'a demandé comment j'allais. Au contact de mon ressenti, je lui ai répondu que j'étais un homme ponctuellement parasité par une explosion émotionnelle très négative, mais que je savais que j'étais un homme heureux. La recette ? Probablement sincérité, courage, réflexion, et surtout congruence...mais ces mots ont-ils pour chacun le même sens que je leur prête ?

Encore une victime désignée comme antisémite et qu'un coup de couteau d'un fanatique religieux, a marqué à jamais son manteau qu'il a gardé toute sa vie.

Merci pour Baudelaire que j'apprécie. Aux débuts de la poésie française, à cheval entre le 12° et le 13° siècle, il y a par exemple Béatrice de Die qui dans un vers qui m'a toujours fait rêver, dit qu'elle ferait de ses cuisses un coussin pour le chevalier dont elle rêve. Il n'y a là aucune mièvrerie. Que s'est- passé, pourquoi cet affadissement ? D’où vient cette censure ? Ps, C'est toujours une joie de vous écouter

Priere de faire le resume de Les sept contre Thebes )prepa et mrc

formidable résumé vous êtes un mélange de Cécile de volange et de madame de Rosemonde 👍 quand à moi il n’y a que la marquise de merteuil qui trouve grâce a mes yeux : les autres que des victimes naïves et innocentes 😂

Effectivement, je pense aussi que contrairement à ce qu'on entend souvent, les hauts de hurlevent n'est pas un roman d'amour mais plutôt une histoire de vengeance et d'héritage. Même si Heathcliff semble davantage guidé par la vengeance, on peut se demander s'il n'est pas aussi cupide. Il manoeuvre comme un renard, il s'empare de l'heritage des Earnshaw, de l'héritage des Lintons puis trouve un locataire. Pourquoi un locataire si c'est uniquement pour se venger ? N'y a t il pas aussi un désir de s'enrichir ? En tout cas, dans ce roman, la muflerie et la violence des personnages est troublante. Ca apparait comme très cathartique en raison de cette passion qui fait pourtant douter de la santé mentale des protagonistes ! Après, les interprétations modernes peuvent être des contresens. Je ne pense pas qu'Emily Bronte ait voulu suggerer qu'Heathcliff était le demi-frère de Catherine même si on peut y penser de nos jours. D'ailleurs, il en est question dans le roman avec des rumeurs qui pullulent dans le village à ce propos. M. Earnshaw est indigné, ce qui ne prouve rien. Cependant, je pense qu'Emily Bronte a plutôt voulu dénoncer les rumeurs infondées et basses qui ont toujours eu cours à la campagne.

Léon a-t-il fait connaitre à Emma le véritable élan amoureux, le vrai partage des sens, cette crispation fugace qui freine le temps ? Flaubert était-il capable de l'imaginer ou de le coucher au moins sur le papier ? Cet amour pour le dire, il faut l'avoir vécu, dans ce cas Mr Flaubert, je vous congédie, cette partie de votre roman n'est pas de votre ressort, je vous laisse l'ironie ou la raillerie, abandonnez-nous l'amour. Pardon, mais c'est ce que j'ai ressenti . Il est plus facile à Flaubert d’imaginer Emma en train de se vendre puis de se suicider. En fait c'est l'amour qu'il tue, crime parfait, on fait disparaitre le corps. Dans ma lecture toute personnelle de Mme Bovary, la fin du roman est un épiphénomène bavard. Je suis désolé, j'ai parfois des emballements, j'ai pensé à Mme Bovary à qui Flaubert a dénié le droit au plaisir, comme le faisaient les hommes de son temps. Je sais maintenant toutes mes réticences vis à vis de Flaubert. Me pardonnez-vous ? Ps j'ai écouté la fin de votre vidéo en reprenant de la distance . Elle est passionnante. Bon à la réflexion, Flaubert n'est pas le seul coupable, c'est tout le 19° qui l'est. Je regarderai l'idiot de la famille.

Je suis tres impatient de ta vidéo sur Flaubert vu par Sartre, car on nous avait beaucoup parlé de "L'idiot de la famille" quand j'était en licence de philo (le cours était "Philosophie morale et psychanalyse")

Un grand merci pour ces trois vidéos qui apportent du recul et de la fraîcheur à un roman qu'on pense toujours trop (ou pas assez) connaître. Et pas besoin d'être en prépa pour apprécier vos analyses. Bravo pour la générosité et la rigueur que vous mettez dans votre travail. La vie d'Emma semble nous montrer que quand nous avons des illusions, il faut qu'un peu de chance les accompagne, et que le moindre grain de sel fait dérailler la machine... Il reste à apprendre comment équilibrer les illusions et le réalisme que nous imposons à ce monde pour ne pas sombrer comme elle, peut-être en méditant les derniers mots de Rosalie dans le roman "Une vie" de Maupassant: "La vie, voyez-vous, ça n'est jamais si bon ni si mauvais qu'on croit."

Merci pour l'analyse. Le coup d'état de Napoléon III c'est évidemment 1851 et non 1951, ce n'est pas grave, tout le monde rectifiera de lui-même ( ou de soi-même ??) et je vous demande de ne pas mettre un terme à votre existence par l'arsenic à cause de ce lapsus. En 1855, pour l'exposition universelle qui se tint à Paris, le gouvernement demanda aux courtiers bordelais de classer les grands vins de la région, ce qu'ils firent en 5 niveaux (en Médoc) et en 3 (sauternes). Ce classement fait aujourd'hui toujours autorité. Vous me direz que cette remarque n'a aucun rapport avec le roman, ce qui est exact. Mais est-ce bien grave ? Disons que c'est mon lapsus à moi. Bonne continuation.

Merci pour ta vidéo !

Le rouge qui bouge a almlawi hhh😽

❤

C'est de la polyandrie, pas de la polygamie. César décrit ce qui pourrait être une caractéristique d'une société matrilinéaire, système de filiation dont certains indices attestent l'existence chez les peuples celtes. En ce qui concerne la supposée polyandrie des Bretons, elle n'a été rapportée que par Jules César et n'a jusqu'ici jamais été corroborée par d'autres éléments.

Ce sont les vainqueurs qui écrivent l'histoire, et Cicéron étant à la fois juge et parti, adversaire politique de Catilina le réformateur, on peut et doit douter que les choses se soient exactement passées comme il les a rapportées, ce qui n'enlève rien à la qualité de son éloquence et à l'importance de ses écrits, tant d'un point de vue linguistique qu'historique. Mais croire que Cicéron n'était que probité et honnêteté serait d'une grande naïveté, surtout quand on sait à quel point les cercles du pouvoir de la république romaine finissante étaient peuplés d'hommes pétris d'ambition et sans scrupules, et pas non plus avares de coups bas pour conserver leur pouvoir. Pour une version plus nuancée et interpellante de la "conjuration" de Catilina, je vous conseille ceci, si vous êtes un minimum bilingue français-anglais : ruclips.net/video/5NxQHylp_KY/видео.html Et bravo pour les vidéos, Mademoiselle "Quartier Latin" !

❤❤❤❤

Bonjour. Comment pouvons nous appeler l'approche que Spinoza fait de l'Ecriture dans la la partie du livre qui va du chapitre 1 au chapitre 15? Merci de me répondre.

Entre les chapitres 1 et 15 Spinoza fait une approche rationnelle de l'Ecriture. Pourtant il prétend que le domaine de la foi ne doit pas être approché par la raison mais par la théologie dont le but est l'obéissance à Dieu. N'y a -t-il pas sur ce point une contradiction?

Je n'étais pas d'accord avec ton affirmation concernant l'appartenance de ce roman au mouvement gothique ; mais tes propos m'ont convaincu. Très bon travail !

J’ai décroché mais cela me fais plaisir de voir que vous tenez toujours bon ! Joyeuses fêtes à vous et à ceux qui vous sont chers . B.R

Pourquoi exhiber ses nichons ?vous voulez incarner le personnage de la comtesse Olenska?

Bonjour Madame, j'espère que vous allez bien. Je souhaiterais savoir quand vous allez publier l'analyse des œuvres d'Escylle sur la chaîne. Nous en avons vraiment besoin, surtout avec les concours blancs et les DS qui approchent. Merci d'avance pour votre réponse et pour votre aide.

Merci pour cette suite. Vous avez remarqué je suppose qu'en commentaire de la 1ère partie j'avais fait moi-même allusion aux " Liaisons dangereuses " Savez vous si Flaubert avait lu et apprécié ce roman ? Bonne continuation.

c'est idiot de ma part, mais j'ai trouvé que le 1ère partie de l’œuvre se suffisait pratiquement à elle-même, à part ce passage dont vous soulignez bien l’ambiguïté sur les femmes et la littérature qui éclaire ce long combat vers la liberté (vous qui en avait fait votre profession, ça doit vous faire sourire. ) C'est très prétentieux de ma part et il est quasi certain que me trompe car ce n'est qu'une sensation et non pas le résultat d'une réflexion ou de la moindre analyse. Je verrai la 3° partie toujours avec grand plaisir car je suis de ceux qui n'ont pas réussi à lire Salammbô , Mme Bovary ou même l'éducation sentimentale. Les seules œuvres que j'ai pu lire sont les trois contes pour leur côté mystique et leur quasi apologie de la simplicité et Bouvard et Pécuchet pour son jaillissement intellectuel. Sinon je vous remercie infiniment. je considère qu'il est prophylactique de vous écouter.

Vous avez fait de loin l'analyse la plus approfondie et utile sur youtube! J'ai une dissertation aujourd'hui et votre video m'a permi revoir et apprendre des éléments importants de manière précise. Ma seule déception est que la partie 2 n'est pas encore sortie!

merci beaucoup

Unanimité contre SPINOZA, un indicateur et indice de l'exigence d'universalité qui anime cet auteur.

Souhaitons que l'inspection Générale apprécira. MERCI, madame.

Merci !

Parfait

Bonne vidéo comme toujours. Concernant " l'incipit", cette technique littéraire annonce ce que fera plus le cinéma, c'est à dire décrire une même action selon le point de vue de plusieurs personnages. Quant à la jeunesse d'Emma, je songe à Cécile de Volanges dans " Les liaisons dangereuses", dont les rêves candides auront raison d'elle . On retrouve aussi dans le personnage de Don Quichotte, les dégâts de lectures mal assimilées. Merci pour votre travail.

Comme toujours, j'adore votre commentaire, là il me permet de me projeter dans cette œuvre, Mme Bovary. Si vous me permettez quelque chose d'amusant, pendant sa rébellion à sa première femme Charles est un court moment, le porteur d'un romantisme fort, celui du renoncement et du plaisir masochiste, "si elle m'est interdite, alors je peux l'aimer". Premier paradoxe, s'est-il par la suite interdit le bonheur en ne le faisant pas vivre à sa femme ? La phrase "quelque chose de monotone comme le ronflement d'une toupie", porte son propre antagonisme en elle même car une toupie est tout sauf monotone, son mouvement est basé sur l'aléatoire. Deuxième paradoxe, Charles Bovary, l'homme amoureux qui rendra les toupies ennuyeuses. Bon, mon interprétation est outrée, tout en parti pris, mais elle devient un sujet littéraire, l'occasion d'un pamphlet non pas sur Flaubert sur l'amour bourgeois et sa transcription (que je serais incapable de mettre en lignes). (par exemple l'oubli du bouquet serait intentionnel dans ma version) Merci infiniment, j’ai passé un moment agréable et fort instructif. ps, je suis content car j'ai écrit tout en vous écoutant et votre conclusion me fait plaisir .

Vraiment fan de tes vidéos !! Ton analyse est tellement pertinente, merci de nous partager ce savoir <3

Merci pour vos excellents résumés !

Merci à toi grâce a toi j ai eu un 15 dans mon eval merci de laisser ma moyenne élevé mes amis te remercie aussi

mrc bcp mais t avideo est trop longue donc flm ett brf