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paroles du 28 décembre 2014

Voici l'curriculum vitae  ,attestant la moralité d'une carrière de quinze ans : beaucoup de temps donc plein d'arzent..... D'abord comme tout un chacun ,j'ai été livreur de bouquins , sur les barrières de Paris j'y appris par coeur la voirie .... Bien avant d'etre chercheur d'orsur les rails et sur leurs débords , je gagnais toutes mes pésetas comme tractoriste à la S.C.E.T.A. (société de controle et d'exploitation des transportts auxilliaires = transports de messageries urbaines de la S.N.C.F.) Puis ,ralliant la R.A.T.P., tous les jours j'étais bien sapé, pour pas que ça devienne un us ,je m'suis rangé des autobus ..... J'avoue,j'en ai bavé,pas vous? toujours sur pavé,vent debout,après avoir bossé plein pot j'avais droit à quelque repos..... Cette retraite de fourmi ,m'a fourni le LA et le MI afin de devenir cigale d'ailleurs pas très loin de Pigalle (47 rue du Département Paris 18e)... Quand ont sonné mes vingts neuf ans , à part RENAUD qu'était dans l'vent ,y avait pas bésef de chanteurs à t'nir la route avec bonheur.... à bien des égards j'étais neuf , en mille neuf cent soixante dix neuf , c'était en plein coeur du mois d'aout ,j'avais du liquider mes doutes ... J'ai pensé peut etre je vaux Renaud, malgré sa quatr'chevaux ,alors j'ai écris des chansons ,mais pas sur du papier Canson ..... Fallait pas immiter Brassens,sinon ça n'aurait aucun sens ,j'ai du trouver ma propre voix ,par malheur je n'en avait pas.... Sachant pas faire ,soyons honnete des chansons pour les midinettes c'est ma propre histoire que je fis ,mon histoire et géographie... J'ai commencé par raconter des histoires très compliquées de labyrinthes dont ,ma foi,j'avais perdu le mode d'emploi.... Avec des avertissements à faire peur aux petits enfants ,je débitais mes 20 couplets .... et sans respirer s'il vous plait .... depuis , trente années sont passées ,j'ai pris du plomb dans les mollet et donc rectifié ma tenue sans cesser d'etre un inconnu ..... Et sans toucher la moindre rente ,chaque année j'en écris bien trente des chansons d'derrière les fagots à l'école de Victor Hugo .... (j'ai fréquenté l'école Victor Hugo à Carrières sur Seine du 1er octobre 1954 au 30 juin 1956 .....puis l'école Toussaint à Houilles jusqu'en juin 1960.......) Curriculum vitaé .......paroles et musique de Joel Camous jan/fév 2012

Je ne comprends presque rien et quand j'ajoute ta qualite poetique.... Seulement la poesie est und challenge. Et sans KI Traduction...

J'écoute les chansons d'avant Les chansons pour les jours de vent L'âme des poètes ,Le parapluie, Leur vérité sortais du puit.... Il pleuvait fort sur la grand route De nos premières aventures Eclairées par la lumière d'aôut Jusqu'à l'usine des ordures.... C'étaient des cultures légumières Sur un vaste plateau pluvieux Jusqu'au réservoir ,parfois vert, Dominait un ciel merveilleux.... Le paysage original Des cheminées d'aèration Aboutissait à l'Arsenal Et bien plus tard dans mes chansons.... Et nous appelions La Marine Une friche au cœur de l'Europe Au sous-sol transpercé de mines Comme des galleries de taupes.... Mais on ne voyait en surface Que des blockhaus sur terrain vague Et des antennes pleines d'audace Comme des mâts parmi les vagues.... Des légions de poireaux en bottes Avaient investi le plateau D'où ,sourire glacé d'Hérodote D'Halicarnasse sur la photo.... Marchant sur les boutons de nacre Et huitres d'eau ,Rue des Alouettes, Nous posions devant le Kodak Pour mes futures œuvres complètes.... Nous avions une petite folie Contigüe au jardin Mansat Et ,là,je sonnais l'hallali Parmi les escargots-soldats.... Passée la pluie j'courais après Ces fantassins déambulant Sur mes plates-bandes,toujours au frais Et dégourdis quoiqu'un peu lents.... Au fond je prom'nais mes 3 berges Vers les align'ments de tuteurs Des haricots verts et asperges En buttes avec mon sécateur..... Dans un marais de gens mauvais où je tombais au dépourvu je m'enfonçais dans les navets qu'en arrivant j'n'avais pas vus... Christian pilotais l'écurie d'autos rouillées et canassons mais aux membres de la fratrie il les pretait sans condition... Il y avait aussi un marin qui,contrairement aux usages et quand on lui serrait la main couinait,ameutant l'équipage... A Noël ,après le sapin, nous n'étions jamais désoeuvrés allant inspecter les lapins toujours étonnés au clapier... Je guettais le hénissement des Ford-Poissy sur le coteau surchargés des troubles ferments tombés sous les pas des chevaux... Tous ces parfums de l'Arabie feux-follet sur champs de salades sur l'air des mille et unes nuits allaient en suivant à Bagdad... Sous le ciel bleu de ma banlieue toujours soumis à l'imprévu chaussés de nos bottes de sept lieues nous passions le monde en revue... Au milieu du centre du monde et en vue de Constantinople avant de revenir en trombe afin de boire « une eau d'Europe »... Coup de théâtre et l'air badin, un peu plus vite que la musique, A pieds jusqu'au fond du jardin nous partions pour les Amériques... Environnée de farfadets sous l'abri de sa véranda Madame Guillon nous regardait de « Sa cabane au Canada »... La lune blanche de cinq heures perchée là-haut jouait au cartes elle était l'as et dame de cœur mais se prenait pour Bonaparte... Les six années de jours anciens de temps béni et d'âge d'or où nous fûmes liliputiens Christian et moi fût un trésor... Là nous jouions grandeur nature, la vraie vie qui partait à perte de vue à la bonne aventure née de nos grandes découvertes... Le chemin n'étant pas flèché On a perdu dix ans après Le fil de l'Ariane enchantée J'en ai conçus quelques regrets.... Et puis il n'y eu plus rien au monde Digne de nos si beaux débuts Et moi ,depuis je vagabonde A leur recherche en autobus..... paroles et musique de Joël Camous du 12 au 17 décembre 2011 Sont citées dans cette chansons quatre chansons d'époque : Le parapluie Brassens 1952 L'âme des poètes Charles Trenet 1951 et Ma cabane au Canada et Ma p'tit' folie chantée par Line Renaud en 1952 (j'ai oublié de citer Bozo de Félix Leclerc)

C'est du grenier de La Chapelle où j'ai vécu bien des années que j'ai répondu à l'appel des tourterelles basanées... Nous marchions le long du Faubourg Saint-Denis et jusqu'à la porte toujours j'élargissais ma cour à toutes les belles accortes... Parfois même ,au soleil couchant si je rencontrais unetelle nous nous disions des mots touchants à l'abri des petits hôtel... C'était l'époque où Réaumur aimait toujours Sébastopol où cinquante ans de vie commune unissait Sèvres à Babylone... Je parcourais la voie publique , à ras des journaux et légumes se cachait ,Quartier d'Amérique, la Place du Rhin et Danube... Ses terrasses m'ouvraient leurs bras sur la Vienne d'avant la guerre dans son nom en grand apparat sonnaient ses cloches étrangères... C'était peut-être à ce carr'four que l'on s'est perdus et trouvés perdus dans un verre de vin rouge la rivière qui fait rêver... Rêver aux côtes de l'Annam au ciel qui dès l'aube rougeoit vers Hu-é ,cité impériale qu'on appelait « la rue sans joie » Rêver aux côtes de l'Annam au ciel qui dès l'aube rougeoit vers Hu-é ,cité impériale qu'on appelait « la rue sans joie » paroles et musique de Joël Camous 8 au 12 octobre 2011 Dans les années quarante la Route Coloniale N°1 et le chemin de fer reliant Saïgon à Hanoï était un lieu de fréquentes embuscades du Viet Minh ,d'où le surnom de rue sans joie. camous joel

Assis au Square de Cluny je songe aux grandes villes sales qui vivent au Royaume-Uni et à leur crottin de cheval... Impressionné par le brouillard que diffusaient les plans de Londres j'ai admiré cette œuvre d'art que depuis Paris j'ai vu fondre... Que je sois ici ou ailleurs la métropole indifférente vaquait à ses œuvres sans peur de me vêxer moi qui la hante.... J'oublie l'étendue désolée des Royals Docks à Dagenham de ça ,je ne veux pas parler, c'est un désert sans état d'âme... J'ai eu un faible pour la basse vallée de la Rivière Léa, là où elle sinue sans qu'elle lasse mon goût pour ses beaux aléas... Ce n'est qu'une vaste pâture que l'eau imbibe comme une éponge d'autres diraient c'est la nature j'ai pas ce goût des sciences-fiction... Un long chemin fait d'un latis porté par des rondins de bois parcourent ce coin de l'infini pour qu'on n'ai pas les pieds qui boient... J'approchais les chemins de fer qui depuis Stratford s'étalent en un grand triangle où s'affairent les diesels dans la capitale.. Alors que je cheminais seul perdu dans la planimètrie j'ai aperçu le Café Paul en contrebas sur la voirie... Tout ici avait rendez-vous au milieu du diable- vauvert des voies ferrées et un égoût rejoignaient Pudding Mill River... Les cris des oiseaux aquatiques contienn'nt ce qu'on veut y entendre moi ,j'y voyais dans cette optique des pleurs sur la Carte du tendre... Devant le poulet tandorii de ce monde en disparition j'ai vu passer là un sari avec des hanches de poisson... Des cow-boys vous n'en verrez pas mais des indiens ,et à la pelle, piétonnent les rues de leurs pas tout autour de Whitechappell... J'ai aussi été à Long Acre dans la grande librairie Stanford regarder des milliers de cartes toutes classées là en bon ordre... Je peux disserter des années sur cette nébuleuse urbaine qui va de Clapham à Stepney et d'Upminster à Willesden... La carte postale officielle intitulée Souv'nir de Londres un panorama vu du ciel avec pour relief des ombres paroles et musique de Joël Camous (prise 003) 8 au 19 mars et 1er juillet 2011 musique des 26 /27 juillet 2011

paroles de mars 2011 musique de juillet 2011 de Joël Camous.

ruclips.net/video/nW1YovhdVDQ/видео.htmlsi=zSas9NQmDr0S97vb la vie Léo Ferré 1955

Guitare Allard Eric Périgueux classique à caisse reforcée pour montage en cordes aciers avec cordier coquille cf guitare Georges Brassens.

Né rue de Rome en 57...que de souvenirs! 😍😍

Le 17 janvier 2017 je gobais les mouches !

ruclips.net/video/pATr1oKG3b0/видео.htmlsi=x1gzHVStb87chDNn desserte trains SNCF banlieue ouest 1961

ruclips.net/video/GUyuSenJc88/видео.htmlsi=rHhOZWneSmA8yQvj les approches de Saint Lazare chanté 9 décembre 2013 de et par JOEL CAMOUS ruclips.net/video/Zpfidn5hY3I/видео.htmlsi=PJShfR2QcNaCcije la banlieue Saint Lazare de et par Joël Camous chanté en aout 2013

Paris St Lazare. Cherbourg 6heures au lieu de deux jours et demi !! Immense progrès vers 1860 !! Merci pour ce document datent des années 1950 !❤

Commentaires affligeants de vieux croûtons réactionnaires 🖕🖕🖕

rencard

paris paris

cachez vos rouges tabliers

CARRIERE SUR SEINE

DEMILITARISE

REVOIR PARIS

J'avais 7 ans... le salle des pas perdus/ l'horloge pendue... la chanson très jolie de Colette Dereale!!!😊😊.. j'habitais la Trinité....😊😊😊😊😊

. Voilà cette fuite en avant que certains ont qualifié de progrès. Et que ça continue ! sinon à cheval (vapeur), à vélo, à scooter, à moto, à RER ou Tram. (nouveaux noms du train de banlieue) et même à TGV ! Fourmis humaines affolées par le temps.

Maintenant regardez ce qu'ils ont fait de la gare Saint Lazare, une horreur. Starbucks et KFC ont remplacé les buffets et restaurants francais. Ils ont même démoli le monument aux morts qui était le point de rendez vous des amoureux et des copains. "Monsieur" Thiers le boucher de la Commune serait fiers...

I mean great video but what's with the creepy beginning?

Je pataugeais dans ce coin inconnu de Londres Cette pâture située tout au bout du monde J'étais moi,le premier, A me risquer dans ces marais...

La nuit c'était mes vraies vacances de cigale plus qu'on ne pense là où résonnent pour de bon les grands rires des vagabonds...

dans le vieux bourg des Andelys en montant au Château-Gaillard par le jardin aux fleurs de lys pour voir au-delà du brouillard...

la cité des chemins de fer c'était pour moi une bonne affaire...

J'observe assidûment par l'ajour des balustres Votre vie animale sous les grands végétaux.

What a brilliant film - I knew Gare St Lazare in the 50s & 60s, I used to go to Vernon in Normandie from there. I can still remember the smell of the steam trains - wonderful!

quel texte !!!!

Générale-z-en chaire,le canon tu professes A ton armée d'élèves recto-verso muette Car presque face-à-face deux psychés te confessent L'art optique de ces lacs,calquant vos silouhettes...

la version INSTRUMENTALE à la guitare ruclips.net/video/XRwp13TD2eg/видео.html

Give me the Long Island Railroad electric 3rd rail trains anytime. It has better door arrangements.

Est-ce qu'il existe encore une Z ou une 3700 do P. O. préservée?

combien d'illustres voyageurs qui s' arrêtèrent quelques heures bientôt n'en repartirent plus tant cette ville leur avait plû

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chez symphonia le beau visage de patricia carli

Incroyable documentaire ! Que j’aurais aimé connaître cette France là………..😊❤

Must be mid-60's as California Star was scrapped in Taiwan '69.

Saint Lazare, Saint Lago comme nous disions alors entre lycéens de Condorcet, à deux pas dans la rue du Havre : Entre deux cours, nous retrouvions l'immense salle de billard au premier étage de la gare, que nous avaient fait connaître les copains d'Argenteuil et de Levallois...

C'est amusant de revoir l'aronde bleue de mon père. Je me précipitais sur un pont quand les locomotives à vapeur passaient dessous, ça m'ennivrait d'être noyé dans leur fumée. J'ai le souvenir d'avoir désobéi en gardant la fenêtre du compartiment baissée sous un tunnel et bien sûr j'ai pris une escarbille dans l'oeil, j'en ai bavé avant qu'on ne l'enlève.

C'étaient les années d'or, les années 1950 à 1970. La si élégante, fine et pittoresque société française s'est ensuite suicidée au béton et à l'immigration. Deux générations se côtoient actuellement dans un singulier contraste : les chanceux nés dans les années 40, qui ont pu en profiter durant toute leur jeunesse ; et les malchanceux des années 50, qui ont vu cette société disparaître en en ayant vécu seulement la moitié et qui en ont donc une nostalgie attristée. C'était la vraie France, les politiques l'ont tuée. Ces vint années sont à distinguer des "30 glorieuses" dans la mesure où entre 1970 et 1976 on a tout détruit (les Halles !) et tout défiguré (la tour Montparnasse et tout le reste).

When I look at the London docks now with all those people having fun, making pigs of themselves, I think of those who grafted, sometimes worked themselves to death....literally. They had no need for a gym. they would fight the flab by working.

Thank you very much for the upload. Long gone, but not forgotten. The whole area has now been redeveloped for the second time now. The line was reused further up by the East London Line which reused the viaduct about half a mile up the line from Broad Street.

1990 ? Normalement les automotrice Z ont circulé jusqu'en 1987

Magnifique 😵👍, on en redemande 🤗, pleins de souvenirs. Merci 😀👍

J'avais un merveilleux balcon donnant sur la Gare de Bécon les vas-et-viens de sa banlieue des trains irrigant ce milieu...

J'avais 16 jours.