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La réaction peut se dérouler à l'état gazeux ou à l'état liquide, le tout dépendra des conditions réactionnelles et des réactifs choisis.

Sur la deuxième couche, il n'y a pas d'orbitale _d_ disponible, seulement des orbitales _s_ et _p_ . Lorsque le nombre quantique principal ( _n_ ) équivaut à 2, les valeurs du nombre quantique secondaire ( _l_ ) ne peuvent être que 0 et 1, ce qui correspond aux orbitales _s_ et _p_ . Les orbitales _d_ ne sont disponibles qu'à partir de la troisième couche électronique ( _n_ = 3 ).

En effet, la notation cis/trans et E/Z permet de décrire et distinguer les isomères géométriques.

Il serait possible de dessiner une structure de Lewis respectant la règle de l'octet où l'atome cetral forme deux liaisons doubles avec les atomes voisins. Cela dit, si l'atome central formait deux liaisons doubles, il devrait par conséquent ne posséder aucun doublet libre, ce qui lui confèrerait une charge formelle de 2+, diminuant par le fait même la stabilité de la molécule.

Ça fonctionne à tous les coups, sauf s'il y a des composés méso parmi les isomères. Pour une explication de ce qu'est un composé méso : ruclips.net/video/20t-Kry9t9c/видео.html

En effet! Le potentiel fait référence au potentiel chimique et nous aide à étudier la tendance des espèces chimiques à se transformer. Le potentiel chimique est une énergie potentielle qu'on pourrait comparer à l'énergie gravitationnelle, elle aussi une énergie potentielle. Plus on élève un objet du sol, plus il acquiert d'énergie gravitationnelle. Cette énergie emmagasinée pourra ultimement être convertie en une forme différente, généralement en énergie cinétique. Dans une pile, plus l'écart entre les potentiels des espèces chimiques est grand, plus l'énergie que pourra produire la pile sera grande. Tout comme un objet chute librement lorsque placé dans un champs gravitationnellement afin de diminuer son énergie potentielle, les espèces chimiques réagissent de façon à diminuer leur potentiel chimique lorsque les conditions le permettent, ce qui mène à un état plus stable de la matière.

@@louis-philipped.lefebvre1062 Merci bien!

Le Royal Society of Chemistry offre du matériel très intéressant pour l'enseignement de la chimie. Il offre justement une protocole pour faire la synthèse dont tu parles. Voici le lien : edu.rsc.org/experiments/the-hydration-of-alkenes/1777.article

Non, ce n'est pas exact. Pour déterminer si un carbone chiral est de configuration R ou S, le groupe d'atomes ayant la plus faible priorité doit être placé en position hachurée. Si le groupe de priorité la plus faible est en position grasse, on peut appliquer la procédure pour déterminer si le carbone est R ou S, mais la configuration déterminée sera l'inverse de la bonne configuration. En ce qui a trait à ta proposition, c'est à dire de déterminer la configuration R/S alors que le groupe d'atomes de plus faible priorité est dans le plan de la projection présentée, la procédure ne fonctionnera que la moitié du temps. En d'autres mots, tu obtiendras la bonne réponse une fois sur deux, et tu seras dans l'erreur une fois sur deux. En conclusion, pour déterminer la configuration d'un carbone chiral, il faut dans un premier temps faire pivoter la molécule pour placer le groupe d'atomes de plus faible priorité en position hachurée avant de détermines le sens de rotation menant à la configuration R ou S. Si le groupe d'atomes de plus faible priorité est placé en position grasse, l'inverse de la configuration est obtenue à tous coups.

L'énergie d'activation est généralement exprimée en J/mol ou kJ/mol.

@@louis-philipped.lefebvre1062 Merci