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好想飛❤

🤗🙌🏻

2020

récit d'un vol en août 2009 dans le coucher de soleil et un faible vent : Les plus beaux vols sont souvent les plus inattendus. Et pour inattendu, celui-ci débute ni plus ni moins par cette moquerie d’un pilote pliant derrière la dune : « c’est trop tard, y’a plus de vent ! » Qu’importe, je compte seulement gonfler un peu dans le sable rose de cette si belle soirée. Soleil couchant, horizon scintillant : c’est dans une ambiance de fin de journée de vol que je déballe parmi les pilotes qui partent, et les vacanciers qui viennent admirer les couleurs du soir après manger. Sans grande conviction, je me sens un peu obligé, pour une raison inconnue, de tirer au moins une fois dans cette journée les élévateurs. Sentir ces deux ficelles au bout de mes index, entendre les petits craquèlements du tissu de la voile et sentir sous mes cuisses au moins un peu de cette force contre-nature. Le vent est frais, mais doux : on ne peut pas dire si c’est froid ou bien chaud tant il est régulier et modéré. La voile, elle, s’en contente et n’a pas de difficulté à rejoindre la verticale. Et moi, après quelques pas et constatant ce que j’avais voulu me cacher : l’homme que j’ai croisé en arrivant n’avait pas eu tort. Alors je profite des derniers souffles du bassin d’Arcachon en m’asseyant, l’aile toujours en l’air au-dessus de la tête, pour admirer le spectacle que tous sont venus voir ici : le coucher de Soleil. Après tout, dans cette position et devant ce paysage, seuls quelques mètres sous mes pieds manquent pour constituer un vrai vol ! Puis c’est parti pour une petite course en direction de la plage 50m plus bas avant de plier, histoire de décoller les pieds. Je m’efforce de la faire durer le plus longtemps possible en visant la pente la plus raide et la mieux exposée au vent venant du phare du Cap Ferret. L’essai est assez concluant : j’ai de quoi faire un demi-tour au niveau des souches pour revenir ensuite vers le bas de la plate forme de décollage. Sitôt les pieds à nouveau au sol, je mets la voile de coté et, sans m’arrêter, je cours en ligne droite vers le haut de la pente. Me revoilà à mon exact point de départ ! Même pas de question à me poser, je suis de nouveau bras hauts en train de redécoller. Et cette fois-ci, je pars d’un tout petit peu plus haut, j’écarte un peu moins les bras, et je rase un peu plus les pins là où c’est raide ! Je renouvelle ce petit ballet quelques fois de suite : petit plané, virage à taux de chute minimal, je reviens le plus haut possible, je touche les pieds, voile en kite, et je remonte en courant, sans jamais fermer la voile. Il commence à y avoir pas mal de personnes au sol, assises sous les pins, des familles, des couples, des groupes d’amis venu voir la mer. En vol, j’aperçois quelques regards admiratifs, voire envieux dans ma direction. C’est par exemple quelqu’un qui s’arrête de marcher pour me regarder, pensif, et laissant continuer devant lui les personnes avec qui il marchait. Alors je m’efforce de piloter le plus proprement possible, pour ne pas rompre le silence qui s’est établi. Ou comme pour ne pas tacher le tableau du coucher de soleil dans lequel je suis. Un tableau auquel viennent s’ajouter le bleu ciel de ma petite voile, ainsi que son liseré orange et jaune qui viennent s’accoler à l’horizon lors de mes virages. Car maintenant, le vent a imperceptiblement tourné à gauche et je n’ai plus à remonter la pente les pieds au sol ! Avec une minutie extrême, j’approche mes bouts d’aile de la cime des pins pour me positionner au mieux dans la zone la plus raide. Je dessine mes huits le long de cette toute petite crête qui joint le bas du camping et le pin qui forme le bout de la plateforme de décollage. Bientôt ce n’est plus mon bout d’aile mais moi-même qui est à la hauteur du haut des arbres. Je reproduis ces huits patiemment, en faisant toujours les mêmes virages : l’un au niveau d’un tronc mort, et l’autre juste en face de l’arbre près du décollage. A un passage, je peu presque toucher ses branches. Je n’ose rien faire d’autre que ces petits huits, de peur de redescendre et de ne pas pouvoir remonter à nouveau ! Mais je m’en contenterais bien pour toute la soirée, c’est si beau ! Le Soleil touche l’horizon et je suis maintenant à deux ou trois hauteurs d’arbres. C’est bon, je vais pouvoir me libérer un peu et m’amuser. Je traverse la plateforme de décollage et vise la petite butte tout au bout pour démarrer les waggas (virages serrés au ras du sol). Un couple est assis juste là et semble apprécier. J’arrive à poser quelquefois la main, mais toujours pas le bout d'aile ! Quelquefois je me rate et la sellette frotte le sol, mais toujours avec douceur et je repars en kite. Une petite pensée à celui qui m’avait fièrement dit que ça ne volerait pas : il doit être bien étonné. D’ailleurs, un pilote quitte un cercle de personnes assises dans le sable et se met dans sa sellette. Il a beau essayer, lui ne tient pas. La dune restera à moi tout seul ce soir. Les wingovers et waggas à rallonge se succèdent dans ces couleurs chaudes, malgré le froid qui commence à me faire greloter. Mais le spectacle est si beau que ça en vaut la peine. A l’occasion, des flashs d’appareil photo se déclenchent au sol et je ne sais plus si je suis spectateur ou acteur du spectacle de ce soir. Le vent et la lumière faiblissante m’autorisent même quelques allers-retours dans la grande pente en face du camping. Je me décide à poser lorsque la nuit m’empêche de voir correctement. Mais c’est bon, j’ai désormais assez d’images dans la tête pour patienter pendant les trop nombreuses journées non volables !

I just arrived home from my first Dune de Pyla trip. To fly there, while listening to this song = Magic!! *.* I want to go back!!

Down there too many lights I had to close my eyes, but the odours alone were enough to fill all my vows. I just wanna be free in this way, Just wanna be free in my world, Vivere per libertà (I will live for freedom), Vivere nella libertà (I will live in freedom) Then a little girl, as beautiful as the nature itself took me by the hand and said to me, followed this adventure. They were even saying, oh yes that the sea envied her; that the mountains bent to let her pass.

sorry wount let me do more than 500 characters! - Like here, as soon as you’re born (he doesn’t really say it this way but it will sound weird if I translate it word for word)You’re plunged into a live where you quickly lose your breath. So with no hesitation, I jumped into the sea to join this vessel and see at last this world.

found this online but it had a few mistakes so I corrected them.hope this heps.You know that there’s a boat that takes you to the land of dreams there where it’s hot and where the sky has no equal.You know that at the tip of this land, oh yes the people sow millions of seeds of joy, like hatred grows here. I was told “little guy, down there they remove your chains, they give you a life without throwing you in the arena”

yeah, i think so too ;)

I wanna Just Said: WOOowowowowowowowWOW

I've started paragliding because of this video! :)

good job!!!!

Ficou uma salada de fruta, com carne. o.0

great song, great movie, great...

@00Muttley: me too :) I dont fly since years, but I would like to restart here!

Oh Novell. Wooh I do work on them.

Fucking cloud from the vulkan on island. I have to change my flight to the next week :(

beryl ,deskspace

If you want to know the lyrics, you can get most of them by doing a search for Pep's Liberta lyrics and, putting them into an online translator. If you want a deeper meaning, you have to ask someone who speaks French. OF what I could see though, it's not meant to be too deep. "I just want to be free this way, I just want to be free in this world", which goes well with the video.

please somebody could tell me what does the song mean?

szép és jó :)

To jest najlepszy film z Wydmy Piłata! Pozdrowionka!!!

the jelly is interesting but gets annoying really quick.. lag when you move is highly unfriendly :)

hey ppl, comment s appelle cet chanson?

Great song!!!

try mandriva or ubuntu you can find it on ther websites

ah, i see ok. Whats with the novel thing at the begining then?

just a side note. IF this is novell - its not free... sorry guys

yes, kinda sure it's nautilus

what file explorer is he using? btw really nice desktop man

You're right, PCLinuxOS is an operating system based on the Linux kernel and the GNU toolchain. By the way, why do you all downvote my comment? I replied to Undergroundoga's one.

but pclinuxos cant be a kernel hence the os part!?

bravo.... what a control........ is this para g dance ?

gay

So you also know Linux is a kernel, not an operating system? And you know almost everything about that kernel? Don't think so, I don't even think you ever compiled it from source.

the most beautiful paragliding video I have ever seen, I get chills when I look at it :)))))) Just fly and fly.....

okej how do you reconfigure you xorg and xserver if you downloaded the wrong drivers and cannot start linux? huh? answer me.. got damnit

This was before compiz. (Or the beginning of it)

super jolie merci pour cette vidéo :)

I think its both ;)

At 18. September I will fly to and on La Palma (Spain) with this song on my mp3 Player. Thx for this idea

linux es una mierda!!!!

trop beau !!! on ferme les yeux et le pays des rêves on le voit presque ^^!!

i want it, buts on fucken linux

What program does he use for the animated background? I can see him typing a command, but cannot decipher it.

je voulais savoir si tu pouvais éventuellement m'envoyer la vidéo... moi j'ai adhéré complètement... je me la passe en boucle et avec tes images en fond ça donne un truc de fou....

j'ador cette chansons. Merci romain.

Man what is the spec on this machine? Everything is so smooth.

j'adore ce gars!!il a trop de talent!franchement il merite d'etre connu...

Perfeito!!!