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Woah ça pète !!! 😊

Certe .... la fin est brutale 😁

Que temazo joder! Gracias por subir el corte! Ya tocaba que ocurriera

paroles : Il s’appelle Pascoal, roi du volant Avec son camion, il trace, il fend le vent Sur les routes du nord, de l’est, du sud-ouest Quand il klaxonne, même les nuages s'arrêtent ! Pascoal le routier, toujours en train de rouler Avec un grand sourire, et sa bonne humeur à emporter Il connaît toutes les routes, les cafés, les raccourcis Pas besoin de GPS, il a l’carte dans l’esprit ! Il en a vu, des aires de repos… Des poules, des moutons, même un chameau ! Parfois il chante, la radio en fond Du bon vieux rock ou une valse d’accordéon Pascoal le routier, toujours en train de rouler Avec un grand sourire, et sa bonne humeur à emporter Il connaît toutes les routes, les cafés, les raccourcis Pas besoin de GPS, il a l’carte dans l’esprit ! Il raconte des histoires, des blagues en tout genre Sur les pauses café, tout le monde veut l’entendre Un jour il jure, il a vu un OVNI Mais promis, juré, c'était pas une insomnie ! Pascoal sur les routes, même la nuit il roule À lui le bitume, et les étoiles qui déroulent Dans son camion, tout est bien rangé Un vrai petit palace, presque décoré ! Pascoal le routier, toujours en train de rouler Avec un grand sourire, et sa bonne humeur à emporter Il connaît toutes les routes, les cafés, les raccourcis Pas besoin de GPS, il a l’carte dans l’esprit ! Alors si tu le croises, sur l’autoroute un soir Fais-lui un signe, un clin d’œil, un espoir Pascoal le routier, infatigable baroudeur Avec sa bonne humeur, il est dans tous les cœurs !

paroles : Tes mains glissent sur ma peau, Doucement, je perds le contrôle. Chaque souffle, chaque frisson, Nous rapproche, sans un mot. Tout doucement, On se laisse emporter, Nos corps vibrent, Sous le rythme enivré. La chaleur monte, nos regards s’enlacent, Ton parfum, il m’enivre, me trace. Dans cette nuit, nos désirs s'embrasent, On danse, on s’abandonne, tout s’efface. Tout doucement, On se laisse emporter, Nos corps vibrent, Sous le rythme enivré. Dans la pénombre, nos corps se fondent, Les battements, nos cœurs répondent. Chaque seconde, nos sens s’éveillent, La nuit est longue, sous ton soleil. Tout doucement, On se laisse emporter, Nos corps vibrent, Sous le rythme enivré. Dans la pénombre, nos corps se fondent, Les battements, nos cœurs répondent. Chaque seconde, nos sens s’éveillent, La nuit est longue, sous ton soleil. Dans la pénombre, nos corps se fondent, Les battements, nos cœurs répondent. Chaque seconde, nos sens s’éveillent, La nuit est longue, sous ton soleil.

Y a quelque chose en permanence, Qui flotte, qui danse Dans ma petite tête. Elle imprègne tous mes sens, Quand je vacille, elle est ma fête, Elle encense mon existence. Son parfum en moi se déploie, Comme une herbe sauvage au fond des bois. Chaque souffle est un frisson léger, Elle m'enveloppe, me fait voyager. Elle est ma muse, mon firmament, de l'herbe planante que je fume lentement, Dans ses bras, je trouve l’ivresse, Elle est ma folie, ma sagesse. Elle est ma douce évasion, Mon cannabis sous mille façons. Son amour est une fleur rare, Fragile comme une étoile du soir. Elle brûle en moi sans jamais faiblir, Comme un feu sacré que je ne peux fuir. Elle est ma brume, ma caresse, Ma défonce et ma tendresse. Chaque bouffée d'elle m'entraîne au loin, Elle est ma terre, mon doux chemin. Elle est ma muse, mon firmament, de l'herbe planante que je fume lentement, Dans ses bras, je trouve l’ivresse, Elle est ma folie, ma sagesse. Elle est ma douce évasion, Mon cannabis sous mille façons. Son amour est une fleur rare, Fragile comme une étoile du soir. Elle brûle en moi sans jamais faiblir, Comme un feu sacré que je ne peux fuir. Elle est ma brume, ma caresse, Ma défonce et ma tendresse. Chaque bouffée d'elle m'entraîne au loin, Elle est ma terre, mon doux chemin. Elle est ma muse, mon firmament, de l'herbe planante que je fume lentement, Dans ses bras, je trouve l’ivresse, Elle est ma folie, ma sagesse.

paroles : J’ai mis du sel sur mon visage, ouvert les failles Une seule larme c’est l’orage, émotion bataille Je n’ai pas besoin qu’on me console Besoin de rien ni rocher ni épaule Mon corps est un océan de mélancolie Je pleure comme je ressens, tout m’envahit Éteindre mes cris sous paupières closes Après les sanglots le silence est grandiose Pleure pleure pleure Tant que t’auras de l’eau dans le cœur Pleure pleure Défais tous les nœuds à l’intérieur L’amour, l’amer, le chaos Sur les joues c’est beau, c’est beau Il y a la colère qui va et devient Bientôt triste comme les pierres, émotion chagrin J’ai pas envie de la retenir je respire grand et pleure à en mourir Pleure pleure pleure Tant que t’auras de l’eau dans le cœur Pleure pleure Défais tous les nœuds à l’intérieur L’amour, l’amer, le chaos Sur les joues c’est beau, c’est beau WRITERS Worakls, Lili Poe

MA-GNI-FIQUE