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Très juste. Lors du dimensionnement, nous vérifions que le flux soit turbulant pour que l'ensemble du volume d'air soit tôt ou tard en contact avec la surface du conduit.

Bonjour, nombreuses sont les installations construites de la sorte par manques d'informations. Voici quelques éléments de réflexion avant de se lancer dans cette aventure. Le PVC (polychlorure de vinyle) contient du chlore et n'est pas adapté pour les puits canadien. De plus sa structure est fortement isolante. Les industriels insèrent entre les deux couches de PVC divers matériaux recyclés . On ne sais pas réellement si ces matériaux sont nocif pour la santé ou non. Un conduit diamètre 100mm permet un débit d'air de 100m3/h max soit une puissance au mieux de 500w. Cette puissance est dérisoire face au besoin de chauffage ou rafraichissement d'une maison. La température mesurée sera toujours comprise entre 10 et 18° mais pour avoir de la puissance escompté, if faut pouvoir augmenté le débit. Pour que l'air circule dans un tel conduit, il faut un ventilateur. Ce n'est pas la dépression d'une simple flux qui va aspirer l'air dans ce conduit. Dans le cas d'un hérisson pour évacuer les eaux de purges, une remonté de la nappe phréatique risque d'inonder le conduit. cette solution est a proscrire. La javel envoyé dans le conduits va dégager des composants organiques volatiles (COV) sur plusieurs semaines/mois... Je vous invite a télécharger gratuitement mon livre "Le puits canadien" sur le site de BatirBio.fr avant de vous lancer dans la conception de votre puits canadien/provençal

Apa, sinon les tuyaux sont assez grand pour y envoyer un petit chinoix faire le sol

@@schmittyannick

Bonjour, J'ai depuis 2020 un puits canadien conçu et dimensionné par Batirbio. Pour avoir avant rénové une maison en refaisant toute la plomberie, nouvelle chaudière à condensation et nouveaux radiateurs (dimensionnés pour rendre efficace la chaudière à condensation), cela m'a coûté le même prix que que le puits canadien + VMC double flux. J'ai par contre fait l'installation moi même. Et le bilan après 3 ans est remarquable. Je précise que j'habite dans une maison isolée en paille autoconstruite. Quasiment aucun chauffage complémentaire en 3 ans (maximum 6 jours par an où la résistance chauffante a dû légèrement compléter le puits canadien + VMC pour gagner 2 degrés encore, parce qu'il avait fait 1 semaine de temps très froid -10 et sans soleil en journée). Très peu de consommation électrique car les ventilateurs sont surdimensionnés donc fonctionnent sans forcer. Une maison ventilée en permanence et ça, on ne peut pas s'en rendre compte tant qu'on l'a pas expérimenté mais ça donne l'impression de vivre dehors en étant dedans. Et rafraichissement l'été, j'arrive à maintenir 23 à 25 °C à l’intérieur quelle que soit la température extérieure. Bref renseignez vous. Les quelques contraintes : de la surface dans le terrain, un local technique assez grand pour la VMC, de la place en sous plafond pour les gaines, penser la maison dans ça globalité car cela n'a de sens que si déjà la maison est relativement bien isolée, protégée du soleil en été (BSO) et pas de baies vitrées au NORD !

Exact . L ideal est la fonte

La température du sol varie entre 5 et 18 degré en Alsace. Nous observons un rendement de 90% pour la plupart de nos puits canadien, soit une température de soufflage de 20° environ. Ce sont bien les mesures qui confirment cette valeur! Pour le puits canadien en question, la température a été un peu plus élevé car le bypass n'était pas en fonction et il à tourné a plein régime pendant une longue période. Le sol a été réchauffé et à la sortie, nous observons une température de 22° environ. Lors de la canicule nous avons observé une température de 27 degrés avec une température extérieur de 44 degrés! La température de confort est passé à 27 degrés dans le bâtiment. Cette température intérieure était très apprécié par les clients. Nous allons remédier au problème du débit et bypass

@@batirbio6770 En période chaude il me semble que 27°c non humide, c'est déjà un peu la limite du supportable comme température en intérieur pour des personnes confinées. On doit aussi parler du renouvellement de l'air et du taux d'humidité dû à la transpiration dans les locaux au bout de la journée. Qu'est ce que vous en dîtes svp ? Pour une température extérieure extrême de 42°c, est ce que cette installation ne serait pas un peu sous-dimensionnée, ne devrait-on pas calculer l'installation pour les cas extrêmes avec un 25°c intérieur maximum, d'autant que vos 27°c intérieur peuvent encore monter si les jours de canicule sont plus nombreux ? Cétait une très bonne vidéo, peut on espérer en voir d'autres ?

Les racines n’abîment pas le puits. Si l'on souhaite ne pas prendre de risque, il suffit de respecter le fascicule 70 pour la pose (identique à la pose des canalisation des eaux pluviales). La régulation est la pièce maîtresse pour le fonctionnement de l'ensemble. Notre régulation DeltaTero a été développé pour optimiser les performances du PC. Dans ce cas, nous travaillons avec plusieurs VMC double flux permettant d'atteindre les débits souhaités

Pour qu'un puits canadien soit efficace il faut des variations de températures importantes entre l'été et l'hiver. Ce n'est généralement pas le cas en Afrique central!

Les calculs sont fonction de la performance du bâtiment. Chaque PC est dimensionné sur mesure pour les bâtiments tertiaires. Il n'y a pas de solution unique. Nos solutions permettent de vous affranchir de la PAC et du plancher chauffant à condition que la maison ait une performance thermique suffisante.

Idéalement le puits canadien sera immergé dans la nappe phréatique. Nous avons plusieurs puits dans ce cas et les performances sont remarquables toute l'année. Je tiens à rajouter que l'étanchéité du puits est primordiale. Nos produits sont conçu pour une telle immersion

Dans tout ces systèmes à la con, on ne parle que des avantages en exagérant beaucoup, mais jamais des inconvénients, il n'y a aucun miracle, , sauf pour les commerciaux qui s'en mettent plein les poches. Il n'y a ps que le nettoyage, il y a aussi la consommation des ventilateurs, le remplacement des filtres très fréquent si on ne veut pas respirer des champignons toute l'année, le prix exorbitant de l’installation, donc aucun intérêt financier pour le client

@@jacquylenoir9097 Une étude bactériologique a été mené sur 12 PC. Les résultats démontrent que la qualité de l'air est toujours meilleure à la sortie du puits que celle de l'air extérieure. La température en sous-sol ne dépasse pas 16° et il n'y a pas de lumière. Les champignons n'aiment pas les courants d'air, etc... Nos PC sont entièrement étanches à l'immersion. Pas de risque d'infiltration d'eau parasite (testé à 0.5bar soit 50 000 Pa!) Les condensats présent ne présentent pas de risques sanitaires et contribuent à une hygrométrie parfaite tout au long de l'année. Voici le lien vers l'étude . www.batirbio.org/wp-content/uploads/2019/07/etude-bacteries.pdf. Une étude financière est réalisée avant la mise en place d'un puits canadien. Vous pensez réellement qu'un maître d'oeuvre va investir sans vérifier la pertinence du projet?! Les PC sont équipés de capteurs permettant de signaler le changement de filtre, et de visualiser l'ensemble des courbes, et les performances du système. C'est un solution écologique qui représente une vrai alternative au climatiseur. (10 Clim vendu par seconde dans le monde, responsable d'une hausse de 2° dans certaines villes,...)

@@jacquylenoir9097 Parce que les autres systèmes de refroidissement ne consomment rien non plus ? Avez-vous au moins pris le temps de vous renseigner sur les puits canadien avant de venir vomir votre ignorance sur le sujet (que visiblement vous ne maîtrisez pas du tout) ?

@@BOUD3K Une chose est certaine, vous, vous maitrisez très bien la connerie 🤦‍♂️😊

Je travaille actuellement avec des maraîchers pour la mise en place de puits canadien pour les serres. La problématique est tout autre car les déperditions d'une serre sont très importantes. Il existe des stratégies pour optimiser ces solutions

La paroi de la serre n'est pas un bon isolant U=2 à 6.. Il faut étudier la solution en fonction de nombreux paramètres (altitude, localisation, qualité de l'isolation, etc... Plusieurs projets sont en études

Bonjour, Je ne pense pas que les variations de températures entre l'été et l'hiver soient assez importantes pour permettre au sol de modifier sa température à une certaine profondeur donnée. Ce sont ces variations annuelles qui permettent au PC d'apporter la fraîcheur en été et inversement le préchauffage de l'air en hiver

Oliver De Peyrelongue oui je veux bien savoir moi aussi. Après je pense qu’il faut faire un pari sur l’avenir écologique en se disant qu’il vaut mieux une telle installation plutôt qu’une climatisation que l’on sait énergivore et néfaste pour l’environnement...

Bonjour, L'énergie pour l'installation est presque négligeable au regard des gains thermiques (été comme hiver) obtenus sur plusieurs dizaines d'années à venir. Il n'y a pas d'usure, le système fonctionnera encore dans 30 ans. Alors que la clim sera remplacé plusieurs fois sur cette période. Le PC permet un confort estivale sans les inconvénients de la climatisation qui assèche l'air. Le puits canadien s'inscrit dans une démarche globale et l'installation a été optimisé pour obtenir le meilleur rendement (coût/confort/gains énergétiques). En association avec une chaudière au bois déchiqueté le bilan CO2 global est remarquable. Ce sera l'enjeu pour les années à venir

A la fin, il faut une grande surface de terrain énormément de tube (le plastique, merci l'environnement...) et j'imagine le chauffage électrique... Vive les normes françaises... (Ironie...) Ces puits sont une très belle utopie, bien malheureusement... (comme la voiture électrique !)

@@4444quentin4444 A première vue, ce chantier parait colossal mais les matériaux mis en oeuvre sont recyclables à l'infinies. La puissance électrique est 5 fois inférieure (ou plus ) à la consommation d'une climatisation. Les clients satisfait sont nombreux et peuvent témoigner...

@@batirbio6770 a la fin pour du "confort" on consomme bien trop d'énergie et aucun mode de production ou d'économie d'énergie n'est vraiment "vert" mais c'est bien (votre projet) d'y tendre ! 👍🏻

La vidéo indique 32° a l'extérieur et 16° en sortie de puit canadien ?? Il faudrai donc que le sol soit a 10° pour faire passer l'air de 32° à 16°, Surtout avec 32° a l'extérieur le sol est réchauffé, donc il sera à 15°ou 16° au mieux . Je vous trouve très optimiste.

Bonsoir, je suis étudiante et je fais un travail sur le dimensionnement d un puit canadien pour bâtiment commercial 100*100*5, est il possible d expliquer la démarche suivie svp?

Bonjour, La distance entre les conduits du puits canadien et les végétaux tels que les arbustes en massif ou en haie doit être d’au moins 1 m. Pour les arbres, la distance doit être d’au moins 2 m. Vous pouvez semer de l'herbe ou y placer votre potager avec des végétaux sans de grosses racines

Pour le rafraichissement estival, il n'y a rien d'autre, pour le chauffage, l'air préchauffé par le puits canadien sera amené à température de confort par une chaudière à plaquette de bois.