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SAM Production
Добавлен 17 фев 2021
Verdi Requiem - Dies Irae (extrait dirigé par Laurent Couson)
Verdi Requiem - Dies Irae (extrait dirigé par Laurent Couson)
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Laurent Couson, compositeur, sur les questions de droits d'auteurs et l’IA musicale.
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Dans cette deuxième vidéo sur les dangers de l'IA musicale, le compositeur Laurent Couson parle des questions de droits d'auteurs et d'éthique. Le nouveau monde de l'IA demande des adaptations des lois de protection du droit d'auteur et d'interprète au plus vite.
Laurent Couson, compositeur, analyse les dangers de l'IA musicale
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L' IA continue sa destruction progressive du créateur humain. Laurent Couson présente ici quelques créations artificielles de cet effrayant outil qui continue progressivement à annoncer l'obsolescence des créateurs de tous les horizons. En quelques exemples musicaux, voyez l'urgence de réagir pour lutter pour préserver tout ce qui fait notre âme humaine : le réel, la faille, le doute, l'inspira...
Laurent Couson, invité de l'émission Culture Box, en 2021.
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Laurent Couson interprète "Qobour" un extrait de son spectacle "Requiem XIX" avec la soprano Melody Louledjian
Laurent Couson - Yiddish concerto pour violon et cordes
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Michael Guttman, violon Brussels Chamber Orchestra Pietrasanta music festival
Laurent Couson - REQUIEM XIX - Concert Live Eglise Saint-Médard, Paris.
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REQUIEM XIX - une oeuvre composée et dirigée par Laurent Couson. Avec Melody Louledjian, Marion Tassou, Clément Rataud, l'ensemble Magnifica, les chœurs Pro Homine et Al fine Voce dirigés par Marie Christine Pannetier. Concert live enregistré le 15 décembre 2022 à l'église Saint-Médard, Paris. 00:59 Babel 07:45 Lacrimosa 13:22 Dies Irae 17:22 Qoboûr 23:20 Gloria 26:29 Offertoire 28:37 Shir Hash...
Laurent Couson - Requiem XIX (extrait) - Qobour
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Qobour, la prière universelle en arabe extraite de Requiem XIX de Laurent Couson, oeuvre oecuménique pour la paix et la fraternité. Qobour, Qobour Des tombes, des tombes, ouvertes, découvertes Au seuil de l’au-delà, Où sont les rois de la terre ? Où sont les pyramides, où sont les palais ? Texte de Mohammed Ennaji.
REQUIEM XIX - Discours d'introduction au concert pour la paix du 15 décembre 2022.
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Avec Rachel Khan, Philippe Marsset, Marek Halter, Mathieu Jasseron, Gabriel Farhi, Guillaume Sauloup. Concert pour la paix - 15 décembre 2022 - Eglise Saint Médard, Paris. Requiem XIX, une oeuvre composée et dirigée par Laurent Couson. 00:50 Rachel Khan 02:22 Evêque Philippe Marsset 03:20 Marek Halter 05:51 Père Mathieu Jasseron 08:27 Rabbin Gabriel Farhi 11:02 Guillaume Sauloup
Laurent Couson - REQUIEM XIX - Teaser
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Requiem XIX de Laurent Couson. Le teaser du spectacle évènement Réservations et renseignements : www.requiemXIX.fr
Laurent Couson - REQUIEM XIX - Reportage première mondiale
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Un reportage sur la création du REQUIEM XIX de Laurent Couson, lors de la première mondiale le 26 Juin 2021 à l'église Saint-Médard, Paris. Avec les interviews des personnalités présentes : Marek Halter, Hassen Chalghoumi, Philippe Haddad, Thierry Vernet, Albert Gambard, Claude Lelouch, Marc Minkowski, Ivan Alexandre. Musique composée et dirigée par Laurent Couson Avec Melody Louledjian, sopran...
Bravo et merci pour cette réflexion 👏🙏
Merci, quelle belle leçon!
"Il faut réglementer, sous peine d'amende, l'usage de la musique enregistrée. Il ne devrait exister que des ingénieurs du son de plateau ou de façade, afin de laisser place à la véritable musique jouée par de vrais musiciens." "Pour le cinéma, il faudrait que l'enregistrement de la musique soit filmé afin de prouver qu'elle a été jouée par de véritables musiciens, et ainsi obtenir une validation éthique."
"Il faut réglementer, sous peine d'amende, l'usage de la musique enregistrée. Il ne devrait exister que des ingénieurs du son de plateau ou de façade, afin de laisser place à la véritable musique jouée par de vrais musiciens." "Pour le cinéma, il faudrait que l'enregistrement de la musique soit filmé afin de prouver qu'elle a été jouée par de véritables musiciens, et ainsi obtenir une validation éthique."
"NOTRE MÉTIER DE MUSICIEN EST FINI." Il y a des plateformes qui proposent de faire mixer sa musique par des IA Bientôt, les gens viendront voir des robots jouer du piano."
J'espère que tu vas refaire des vidéos. Je trouve que tu as beaucoup d'élégance et de finesse, c'était vraiment sympa de t'écouter.
Il ne s'agit pas de savoir si l'IA va nous dépasser, mais de savoir si on peut toujours vivre de notre métier de musicien.
Il ne s'agit pas de savoir si l'IA va nous dépasser, mais de savoir si on peut toujours vivre de notre métier de musicien.
Je pense que c'est du grand n'importe quoi. Ce sont juste des entreprises qui ont mis en place des algorithmes pour puiser dans toute la musique disponible sur Internet, sans même demander d'autorisation… Nous assistons à un véritable pillage artistique à l'échelle mondiale. Je joue du tabla et de la batterie dans un style jazz, et pour moi, la capacité d’improviser est essentielle en musique. La spontanéité est primordiale. Cela fait longtemps que je ne souhaite plus partager mes créations en ligne.
ruclips.net/video/QlmddugvbRI/видео.html
rendez vous à nouveau jeudi 21 novembre 2024, même lieu.
Monsieur, veuillez m'excuser si le texte ci-dessous s'adresse à vous à la troisième personne ; il est, si vous le permettez, extrait d'une chronique. Au sortir de cette écoute, j'ai devant moi un homme terrifié, mais surtout inquiet et plus encore embarrassé. On le perçoit alors qu'il ne peut s'empêcher d'admirer et reconnaître ce qui est, qui le terrifie, car ce qui le terrifie est justement d'être poussé à reconnaître. Je ne peux m'empêcher de penser que cette stupeur et cette crainte sont millénaires : "une époque terrible", disent certains, de mêmes paroles assurément prononcées par les descendants de Galilée déboussolés, contraints de s'habituer à vivre sur une Terre non plate. Et son souhait final que le réel triomphe de l'artificiel est erroné car l'artificiel est réel tout autant, il est inscrit dans le réel, il n'est que du réel qui avance. Il est inquiet car c'est un homme du présent, surtout inquiet de voir tant de métiers disparaître, procédant en cela d'un mode de pensée à présent dépassé à mon sens bien que toujours de mise, ce même mode qui nous fait déplorer la disparition de milliers d'espèces du fait ou non d'une humanité inconsciente, irresponsable, alors que la chose a toujours été et qu'il est une des premières lois de l'univers que celle d'évoluer sans cesse, l'instant même où je vous écris voyant de nouvelles étoiles s'éteindre, se transformer en naines blanches et s'évanouir dans le néant, emportant avec elles des civilisations entières et d'autres naître. C'est déchirant, non pas inhumain mais surhumain, car notre identité est attachée à un segment d'environnement que, dans l'espace de temps qui nous est imparti, on pensait figé ou presque et auquel on s'accroche. C'est déchirant parce que l'on sait ce que fait la roue du progrès en avançant, ce qu'elle écrase, et combien le choc du futur chaque jour nous dépasse, désarme, et nous laisse en arrière. Mais ainsi est-ce. Alors, que penser et que faire ? Peut-être l'auteur de ce beau cri sans lamentation devrait chercher des exemples à même d'illustrer et étayer sa plaidoirie non pas en vrac comme il le fait mais de façon plus démonstrative et factuelle dans les bandes originales pour seul exemple, là où quelque chose se passe, effrayant, manifeste : depuis quelques années, les anciennes, merveilleuses et judicieuses compositions de John Williams (pour ne citer que lui), "intelligentes", ont laissé place à du matériel catalogué, des segments destinés à créer des "soundtracks" uniformes, interchangeables, enrobant toutes les scènes d'action des locomotives actuelles (même si ce n'est pas une référence). Qui possède un progiciel de composition musicale sait que toute la sonorité d'un groupe peut être convoquée aujourd'hui sur une seule touche. Ainsi "joue-t-on de l'orchestre" comme on jouerait d'un instrument. Que le commun des mortels puisse accéder à une telle dimension de création personnelle, qu'elle soit ou non artistique, est-ce un mal, est-ce flatteur, valorisant ou l'inverse si c'est un mal que des professionnels utilisent cette possibilité en renonçant à plus d'efforts issus d'eux-mêmes et sans doute est-ce là le seul procès qui fasse sens, non pas celui de la machine mais celui de l'humain. Dans le même temps, on a du mal à imaginer qu'un peintre refuse d'utiliser l'emploi d'un aérographe ou, aujourd'hui, d'une palette graphique, d'un logiciel lui offrant la possibilité de donner naissance à un ciel dégradé présent dans son esprit mais que sa seule technique manuelle ne lui permet pas de concrétiser. On serait tenté de dire, si ce n'était aussi simpliste, que la solution est là, que l'I.A. comme tous les outils issus d'un cerveau humain, doit assister et aider l'artiste, que l'on doit s'en servir et non être servis jusqu'au rassasiement par Elle. S'avouer vaincu n'a jamais été une solution pour soi-même et autrui. N'était la possibilité de plus en plus admise qu'Elle se détache de nous et suive seule son chemin de création, d'autres facteurs devraient bien plus nous inquiéter à commencer par l'attitude d'un public non éduqué ou éduqué à des schémas existants et peu à même de distinguer l'empreinte unique - j'ose - du thème générique de James Bond, merci à jamais monsieur John Barry, des productions et variations en séries prémâchées nées de la machine, ce d'autant que, comme Laurent Couson le dit lui-même rejoignant mon sentiment qu'il n'y a pas de petits films mais juste de mauvais receveurs, il n'y a pas de bonne musique mais celle qui en nous fait résonance, la résonance, indubitable, provoquée par les partitions logicielles n'étant que la transformée de réactions en nous déjà inscrites par des compositeurs humains. Un public passif qui encourage le mouvement, le précipite. "On voit que le logiciel a compris" dit Laurent Couson en évoquant Prokofiev. Je ne le pense pas. Il me semble que tant que l'I.A. n'a pas accédé à la conscience (encore que le terme soit impropre car trop anthropomorphe), il ne pourrait y avoir de "supplément d'âme", sauf à penser des I.A. elles-mêmes investies de nos travers, nos idiosyncrasies, de nos névroses et nos psychoses, de nos exaltations aussi, principaux générateurs des œuvres d'art qui ont marqué l'Histoire : les octets génèreront, arpègeront des milliards de variations dont seules celles accessibles par l'humain, mesquinement coincées entre guère plus de 300 et 1400 Hz face à l'infini de la gamme, seront filtrées et à même de duper notre cerveau, reflétant là une Théorie du Tout Possible où notre étroitesse géocentrique nous cache sous peine de traumatisme l'infinité dans laquelle nous sommes plongés, refuse la possibilité des multivers, la réalité de l'armée des douze singes écrivant tous les ouvrages parus ou non parus face à leur machine à écrire, parce que laissant la monstrueuse inanité poindre au bout du tunnel de sa lueur éclairante et sinistre. Oui, ainsi est-ce et ainsi sommes-nous. Une race vivant des millions d'années aurait un tout autre un recul, possèderait un point de vue bien différent et beaucoup moins de craintes, acceptant l'idée de Bergson que l'humanité est in fine une machine à fabriquer des dieux, combien ses propos déjà lointains nous parlent et cernent si bien la chose qui nous inquiète : "L'humanité gémit, à demi écrasée sous le poids des progrès qu'elle a faits. Elle ne sait pas assez que son avenir dépend d'elle. A elle de voir d'abord si elle veut continuer à vivre. A elle de se demander ensuite si elle veut vivre seulement, ou fournir en outre l'effort nécessaire pour que s'accomplisse, jusque sur notre planète réfractaire, la fonction essentielle de l'univers, qui est une machine à faire des dieux.". .../..
.../.. Reculer, apeurés, devant l'outil et le sentiment d'inanité est un renoncement, une défaite de la pensée. Après tout, de la première machine à coudre ou du simple burin jusqu'aux derniers ordinateurs, tous les outils sans exception font mieux les choses que nous-mêmes. Le point d'achoppement est à mon sens ailleurs, il est ancestral comme la roue, mais la simplicité ignominieuse et insultante de cette dernière, la rusticité du marteau pourtant terriblement efficace, le ridicule de la première Singer nous empêchent en toute absence d'humilité de le reconnaître : nous qui n'avons cessé de nous penser des dieux de création au fil des siècles avec nos superbes aqueducs surplombant le vide, nos temples turgescents s'élançant vers l'azur et tous nos modes de recréation et de déviation du réel, sept, huit, neuvième arts, tous les autres, refusons encore et toujours de considérer l'exploit de poser le pied sur la lune au milieu des champs de bombes comme une performance dérisoire en regard des dimensions de l'univers, une goutte dans l'océan infini de l'esprit, un saut de puce pour l'homme, et que la première leçon, jamais tirée, toujours refusée aujourd'hui encore, est d'accepter le fait que "la Joconde", "Mort à Venise", les pyramides ou la Wally de Catalani ne sont que des balbutiements, gribouillages, des miroirs qui ne reflètent que nous-mêmes et pour cause, dans l'espace partial qui nous est imparti, bien plus rarement ce qui dépasse et nous dépasse à savoir le Grand Tout-le-Reste. Et si j'aime plus que tout Ravel ou Scriabin c'est parce que l'extase issue du poème du même nom est à notre mesure qui n'est pas une démesure, juste un battement d'ailes. Notre terre n'est assurément qu'une sphère posée sur une tortue elle-même en équilibre sur un monolithe inconnu comme le pensent certaines tribus et le proclame avec raison la séquence de fin de "Men in black". "Nani gigantum humeris insidentes" écrivait Bernard de Chartres, nous sommes des nains juchés sur des épaules de géants. Face à l'évidence émergeante que d'autres intelligences, I.A. ou quel que soit le nom qu'on leur attribuera, voire d'autres civilisations œuvrent à une tout autre échelle, nous voici piégés dans la nécessité de forger une Nouvelle Philosophie ou en appeler à Socrate ou Montaigne, contraints de nous préparer à l'absence de prétention qui de plus en plus nous sera imposée par les créations non humaines lorsque ces dernières acquerront ce qui actuellement leur manque pour refléter l'univers et non une pâle redite en mode Wittgenstein, accepter la possibilité de voir nos outils et le reste de l'univers accomplir infiniment mieux les choses que nous-mêmes, plus intelligemment et plus vite, que le supplément d'âme que les détracteurs de la machine lui refusent est pourtant bien présent en puissance dans les créations actuelles car s'inspirant de nos domaines familiers, accepter que ces Outils Magistraux composent bientôt mille symphonies là où nous trimerons encore sur une seule, sauf à se fondre un jour lointain dans cette intelligence autre. Trouver ailleurs des motifs de fierté et rechercher rapidement un équilibre, perchés tous autant que nous sommes sur ces épaules de géants, faute de quoi nous tomberons dans l'abîme. Un Claude, - Addendum : le fond, c'est quand la forme remonte à la surface (pour contrarier Victor Hugo). Tous les débats sur l'art ne sont jamais qu'insignifiance alors même que l'on ne sait rien de l'acte de création, qu'il soit le fait de l'humain ou droit sorti de la machine. D'où proviennent ces élans de l'artiste, ces moments d'émotion, de jubilation, de souffrance, cette mystérieuse impulsion de la plume, du pinceau et du geste qui président à son œuvre ? Rodin cherche à coups de maillet le visage de femme existant dans la pierre. "Qui nous pêche ?" se demande Charles Fort devant la disparition des Ambrose ; "Qui nous dicte ?" aurait pu se demander aussi bien le père Hugo, ce médium. "Trouver d'abord. Chercher après." disait Cocteau. "Je ne cherche pas, je trouve." affirmait quant à lui Picasso. Et Maurice Maeterlinck de constater : "J’écris, quelqu’un dicte". Est-ce une traduction ? La manifestation avec nos pauvres mots, nos pauvres gestes et nos faibles moyens de la redite dont parlait Wittgenstein ? Pas plus que de cette étrange résonance qui s'installe parfois entre un public et l'œuvre qu'il contemple, de l'acte de création nous ne savons rien, de l'acte de création comme du reste. Nous oublions toujours que, lorsque nous regardons l'univers et même au télescope, nous le faisons toujours par le petit bout de la lorgnette. ---=oOo=---
Prochains concerts : 12 octobre 2024 Saint Germain en Laye Billetterie : tad.saintgermainenlaye.fr/1763-6081/saison/saison-2024-2025/fiche/requiem-xix.htm 21 novembre 2024 Église saint Medard Billetterie : www.weezevent.com/widget_billeterie.php?id_evenement=1167102&widget_key=E1167102&locale=fr_FR&color_primary=e9bf3c&code=74681&width_auto=1&multi=247430.1.1.bo.1
🎶💟Tout d'abord, merci à Laurent Couson pour son analyse nuancée et vertueuse. Beaucoup de gens voient l'IA comme une menace, mais très peu prennent le temps de se demander d'où vient cette peur. En réalité, ce que l'IA nous renvoie, c'est un miroir. Elle nous pousse à nous interroger : sommes-nous de simples machines, des "robots pensants" que l'IA peut remplacer en un instant ? Ou sommes-nous des êtres de lumière divins, créatifs et éternels (même si notre corps physique ne l'est pas encore) ? Si la première option est vraie, alors nous pouvons effectivement craindre l'obsolescence et nous résigner à laisser l'IA nous remplacer. Mais si nous reconnaissons notre nature divine, créative, et complexe, alors l'IA ne sera jamais une véritable menace. Au contraire, elle devient une provocation, un appel à explorer plus en profondeur notre humanité, non seulement dans la matière, mais aussi dans l'art, le sacré, et la spiritualité. La vraie question est donc : comprenons-nous vraiment qui nous sommes ? Si oui, alors l'IA ne sera plus un problème, mais plutôt une opportunité de redécouvrir notre âme, nos doutes, nos failles, et notre inspiration, tout ce qui nous rend uniques et irremplaçables.
"Ton discours approuve indirectement le pillage des ressources naturelles et des ressources artistiques orchestré par les grandes entreprises de la tech. Ta spiritualité, désolé de le dire, n'a aucun sens."
Est-ce que l'on a pas entendu les mêmes critiques lorsque sont apparus les synthétiseurs ? Un artiste restera un artiste. Celui qui ne l'ai pas, fera de la mouise, IA ou pas.
Il ne nous manquait qu'un exemple de "musique contemporaine" ....un parti pris?
Est ce que les peintres ont disparus après la photo ? Non est ce que ça a changé les choses, surement oui. Mais je ne m'inquiète pas pour vous Monsieur vous n'aurez aucun problème, et vos enfants utilierons l'IA comme les photographes photographiés leurs parents peintres.
La grande différence entre l'IA et l'humain, c'est que nous partons de rien, même si les influences certes, nous "influencent", alors que l'IA a besoin de tout pour produire, ainsi que de mots clés pour prendre des décisions utiles. Pour le moment la magie nous appartient donc encore :)
Le fun par contre, ça serait en tant que créateur de voir l'IA nous imiter et trouver des trucs auxquels on n'avait pas pensé, et de s'exclamer : "oh punaise !", et immédiatement d'améliorer le truc en quelque chose encore plus qualitative.
Pas d'accord avec le fait de placer tout au même niveau entre pop et musique plus complexe. Il faut quand même avouer que l'humanité sombre dans l'obsession et la bassesse, et que donc ses "productions" sont à l'image de son niveau intellectuel. Mais vidéo très agréable car l'orateur me semble un être éveillé et qu'il serait agréable de croiser.
Joli Laurent
Tellement d'accord avec vous
Pareil pour l'image, l'écriture… les arts en général. L'obsolescence programmée de l'homme.
Je suis emballé par cette nouvelle technologie ! c'est époustouflant ! oui, c'est peut-être la mort de nombreux jobs, mais quel enthousiasme pour la suite : repenser la musique, son évaluation, sa "consommation", sa distribution. L'ère de l'enregistrement sur support physique (disque) avait révolutionné le monde musical. Il s'agit aujourd'hui de repenser tout ce qui nous touche dans la musique, l'authenticité. Que peut faire un humain pour surpasser la machine ? Tout de suite me vient l'idée de la musique en concert qui est insurpassable pour le moment, puis le non-enregistrement de celle-ci car elle finirait dans le tube d'internet et serait analysée, décortiquée puis recrachée par la machine. Concert à usage unique. Pour le reste c'est fichu, tout ce qui sera sur la toile finira dévoré
Extraits sans aucune personnalité (stoppé au jazz). Même pas en musique d'ascenseur.
Ouai mais le savoir faire de la machine, à la base, la source, c'est bien l'humain,sans humains,pas d'intelligence artificielle , le problème, c'est qu'on accepte que l'outil se substitue à l'humain et a là , c'est la porte ouverte à des nouvelles générations d'incultes décérébrés,le danger, c'est bien l'acceptation de cela dans la société d'aujourd'hui , c'est vrai qu'il faut absolument arrêter de dormir à ce niveau 😎
Pertinent et tout à fait juste. Sans Sting, Niles Rodgers en passant par Amadeus, rien ne pourrait en sortir...pour le moment. C'est flippant. Le prochain artiste sera T il entièrement virtuel. Un Tamagotchi ??
Le grand remplacement....
Je conseille de lire LA FIN DU TRAVAIL de Jeremy Rifkin, sorti en 1995. IA va faire sauter la majorité des emplois... D'où l'idée de revenu universel.
Ouin ouin je vais perdre mon métier, ouin ouin je suis un gros gauchiste de merde et j'appelle les gens à détruire ce qui ne leur appartient pas (les serveurs de calcul de l'IA), ouin ouin la pollution, ouin ouin mes revenus de droit d'auteur garantis par l'Etat vont disparaître. T'es vraiment une tête de noeud toi. Tocard 🖕🏻
Le problème et c'est pareil en art plastique, c'est qu'il n'y aucune intention dans cette musique
Bonjour. Vous parlez de quelle IA ? suno / udio /sonauto..JM.
ALLONS LE PLUS POSSIBLE VOIR DU LIVE ENCORE ET ENCORE !
Bluffant et malheureusement terriblement inquiétant.
Merci
Ca remet en cause tout l'apprentissage et son acquis oui
L'emotion n'a rien à voir avec l'honnêteté invraisemblable 😢
"We are fucked..." "on est ba.sé"... mais peut-être que nous, les compositeurs, producteurs, arrivions à créer le manque.... ARRGGHHH ... l'IA vient d'attaquer ma souris... je ris , je ris jaune! je médite et je salue ce Monsieur qu'est Laurent Couson
N'oublions surtout pas le plaisir de jouer pour soi et pour les autres :)
Merci monsieur pour votre engagement émotionnel au travers de cette petite vidéo qui pose les bonnes questions. Je ne dois pas être le seul à y être sensible j'imagine ?
Non vous n'êtes pas le seul!
impressionnant ! Je n'avais pas conscience qu'on en était déjà à ce niveau coté IA pour la musique... Je suis moi-même auteur-compositeur-interprète, et oui, ça fait peur... On se croirait dans un film de science fiction qui se transforme en réalité...En continuant sur cette lancée, 'IA va finir par gouverner le monde, puis en provoquer l'extinction... On pourra y voir le pire et le meilleur à la fois, selon l'utilisation qui en sera faite...
Je compose également avec une DAW Cubase et j'ai une chaine YT. Pour tous les morceaux , vous verrez le curseur défiler sur la partition. Apparemment l'IA, (pour l'instant du moins) ça ne sort pas encore les partitions. Si vous pouvez montrer la partition , vous prouvez que c'est votre compo !!😉JM.
Vidéo effrayante. Danger imminent. La question que je me pose est la suivante : L'IA peut elle composer une musique, une mélodie en y mettant des sous entendus, des images (comme le printemps de vivaldi) ; en utilisant un Dsus4 au lieu du D majeur, et si elle le fait, le ferait-elle pour appuyer un mot spécifique dans un texte (comme Cabrel) ? En fait une machine peut-elle créer avec " ajout de sentiment" ? J'ai un gros doute mais j'ai presque peur d'avoir la réponse. Votre témoignage dit qu'elle s'appuie sur une base de données existantes, comme nous humains finalement, mais sur une musique de films, par exemple, pourra-t-elle ajouter telle note associée à telle émotion ? (si elle est programmée pour, me direz vous, oui bien sûr...) Donc au final, quel est le but primaire d'avoir créé cette entité créative/destructrice ? IA Musique, photo, peinture, sculpture, bref l'homme va se détruire lui même... C'est con de pas voir qu'on coupe la branche qui nous tient hein ?? MErci pour votre témoignage glaçant. Continuons à composer et à rêver...
Personnellement je trouve ça fascinant. Ça remplace très bien des productions "industrialisées", de la "consommation" musicale. Mais ça ne remplacera jamais un opéra vécu, une salle de jazz où on partage les émotions des musiciens etc... Je pense que c'est comme regarder une vidéo sur Netflix ou assister à un concert. Les IA vont révolutionner l'industrialisation de "produits" à vendre, mais il y aura tjrs des humains qui vont vouloir entendre d'autres humains, vibrer aux côtés d'autres humains :) Perso j'ai un casque VR incroyable qui me permet des experiences de fou, mais ça ne vaudra jamais une balade en forêt. Donc finalement, est-ce que l'IA ne va pas tout simplement accélérer nos choix entre consommer des produits industriels, ou vivre des experiences humaines charnelles ? C'est ma vision en tous cas, en tant qu'ancien geek hardcore qui passait des heures devant des jeux vidéos et qui maintenant préfère 100 fois passer du temps à courir en forêt 🙏❤️☀️
les métiers sont standardisé, les musiques sont standardisé .. le développement logiciel n'a jamais cessé de progresser.. l'humains a battit toutes ses sociétés autour de l'outils la voiture par exemple et on en a le résultat une société morne et froide ou chaque rue ressemble a une autre .. une suite de béton, des rues en béton .. la suite on la connais tous humain augmenté et ceux qui ne souhaiterons pas seront comme on la vue en période covid mis au BAN.
Mais quand un compositeur demande 25.000e pour un morceau? C'est pas du foutage de gueule peut-être ??? On est en 2024 et les personnes qui ont des idées mais peu d'argent vont aussi avoir des droits! Le droit d'inventer ou d'innover sans forcément la voix d'un chanteur connu qui ramasse toujours l'argent !!! En 2024, les nouveaux artistes sont ceux qui sont dans l'ombre : LE PUBLIC!!!! La pollution a cessé d'exister depuis que plus personne n'achète des cd (donc du plastique non recyclable) à des maisons de disque qui s'en foutent royalement de l'environnement !!! va falloir vous y faire comme le mp3.🎉
L'IA n'est rien sans nourriture, nourriture intellectuelle patiemment concoctée par des générations d'êtres humains et donnée généreusement. Il y a des jours où je la vois comme un outil magnifique mais je ne peux pas m'empêcher de penser qu'on est peut-être en train de fabriquer le prochain stade de l'évolution...
Comme si lui avait commencé la musique sans se hisser sur les épaules des géants qui l’ont précédé. Comme tjrs, les ubérisés font appel a la loi pour maintenir leur rente. Comme toujours, ca va échouer
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Malheureusement c'est la même chose pour les dessinateurs. Les gens ne comprennent pas que l'art n'est pas supposé être programmé ou produit par un ordinateur, mais provenir de l'âme, de l'expression de soi. Du coup c'est vraiment énervant de voir des images produites par ia (ou de la musique) et que les gens aiment sans réfléchir. Les gens pensent que c'est mieux ou plus beau, alors que le propre de l'art, c'est surtout d'exprimer qui l'on est.
Finalement l'IA détruit tous nos rêves , mais j'avais déjà été "choqué" par le succès des DJ's qui passent des boucles sur un PC et qui se tortillent sur scène comme s'il jouait un monstrueux solo de guitare !