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prometheus et Aloen Covenant ne sont pas,canons... Ce sont des délires creationnistes de Ridley Scott ! Les 2 AvP sont canons en revanche

C’est fou, comme les personnes sont habitués à consommer de la merde, Si ça continue, comme ça on va aller au cinéma, juste pour voir de belles images et plus pour voir une histoire

Hello Guillaume, hello la team, et encore un autre live spécial qu'il faut que je rattrape (ça ça arrive quand on s'est coupé d'internet durant 4/5 semaines ^^). Voilà au passage ce que j'ai pensé de ce dernier volet d'Alien : Après 2 préquels d'assez piètre mémoire réalisés par Ridley Scott, ce dernier a laissé sa place de réalisateur à Fede Alvarez (Evil Dead, Don't Breathe), qui co-signe également le scénario de ce nouveau volet, dont l'histoire se situe entre «Alien, le 8e passager» et «Aliens, le retour». D'un point de vue formel, rien à redire, le savoir-faire est bien là. Tout y est très soigné, propre, qu'il s'agisse des décors, de la photographie ou encore du sound design. Alvarez nous prouve une nouvelle fois qu'il sait manier une caméra, proposer pas mal de plans qui arrivent à imprimer la rétine et poser une certaine ambiance. Une fois cela dit, un élément primordial a manqué à mes yeux dans ce survival spatial : la tension, et donc la peur qui pourrait en découler. Ici, à trop vouloir apposer les codes (trop) connus du slasher, et essayer de reproduire à tout prix le schéma S-F/horreur du premier volet de la saga (qui n'a toujours rien perdu de son impact cinématographique, 45 ans après sa sortie), je me suis retrouvé devant un film relativement prévisible et dans lequel j'ai eu du mal à s'immerger parce que l'identification avec les protagonistes avait notamment du mal à se faire (encore une fois parce que ce style d'écriture et les mécanismes qui la constituent, on les connaît depuis longtemps). Et cette sensation de déjà-vu est d'autant plus flagrante quand elle fait directement référence aux précédents volets de la saga (dont une réplique culte qui tombe ici complètement à plat, ou encore la "résurrection" d'un célèbre acteur du 1er volet). Reste quelques saillies gores bien sympathiques, un design assez convaincant du Xénomorphe (quand il n'est pas en images de synthèse) et quelques idées intéressantes/surprenantes (comme la caractérisation du synthétique Andy, ou l'introduction de l'alien hybride, dont le visage peut rappeler celui des Ingénieurs dans «Prometheus»), à défaut d'être totalement convaincantes à chaque fois. En bref, du bon travail d'artisan qui se laisse bien regarder, mais finalement assez formaté et attendu dans son déroulé, et ne pouvant rivaliser avec les premiers volets de la saga en terme d'immersion et de tension. 6/10. Et je ne sais pas si tu l'as déjà vu, mais si tu as l'occasion, fonce voir City of Darkness, un très bon film d'action qui tatanne grave !

Hello Guillaume, hello la team, faut absolument que je rattrape encore ce live spécial X-Men. En attendant, voilà ce que j'ai pensé du dernier Deadpool, rattrapé il y a quelques jours : Une œuvre récréative sans grande incidence sur le reste du MCU, mais qui vient encore un peu plus exploser les lois du 4e mur et aligne les caméos, les références et les punchlines graveleuses (en particulier en direction de la Fox et de Disney) comme un boulanger qui distribue des pains. Un aparté de sale gosse à l'intérieur duquel Ryan Reynolds et Hugh Jackman semblent avoir pris beaucoup de plaisir à jouer ce duo (pas si) mal assorti qui a des comptes à régler. Sans oublier le reste du casting, dont certains retours qui ont fait plaisir à voir. Bref, un défouloir décérébré et un rien opportuniste, mais non dénué d'une touche d'émotion (merci Jackman). Et le divertissement idéal dont j'avais besoin pour inaugurer mon retour en salles. 7/10.

Hello Guillaume, hello Kevin, voilà ce que j'ai pensé du dernier Shyamalan : 2 mois à peine après «Les Guetteurs» d'Ishana Shyamalan, c'est au tour de son père de faire son retour en salles avec ce «Trap»...et de ne pas faire mieux que sa fille. Partant d'une idée intrigante, l'intérêt pour le film s'effondre très vite faute de crédibilité. Raconté en grande partie du point de vue du tueur (Josh Hartnett, qui ne fait pas un mauvais job en soit), le film multiplie les heureux hasards, les personnages clichés et les situations absurdes, ce qui fait que notre antagoniste ne rencontre jamais de véritable obstacle et que le film se retrouve dénué de toute tension. L'impression d'assister beaucoup plus à un long concert entrecoupé qu'à un vrai thriller comme cela nous a été vendu. Et la seconde moitié du film (non dévoilée dans la bande-annonce), qui met fin au principe du huis clos, n'y changera pas grand chose. Il reste 2, 3 idées sympathiques par-ci par-là, mais face à ce film aux grosses ficelles et à l'écriture fainéante et artificielle, il se dégage surtout cette sensation : les seuls à s'être vraiment fait piéger ici sont les spectateurs eux-mêmes. 4/10.

RIP. Le dernier des très grands acteurs français. Des films de légendes de 1960 à 1980. La beauté du diable. Le charisme. L'intelligence. Un cinoche de la plus belle époque, qui n'existe plus. L'homme par contre... Je laisse aux gauchistes qui ont broyé la France, avec leur salmigondis de sous fifres et sans couilles pour la partie politique. Delon était Dur, double, complexe sur bien des aspects. Affaires louches, qui partent dans la tombe avec lui, impliquant le microcosme politique silencieux et/ou la pègre (rien de nouveau sous le soleil sombre de la Veme) Ne pas avoir reconnu son fils Ari, qui a souffert toute sa vie et a fini en épave, de ce manque de reconnaissance. (Après il faut assumer où on met son sboub. Et la mère lui a kkpart fait un enfant dans le dos. Pour In Fine ne pas s'en occuper...) Évasion fiscale, sport national (qui aurait pu être aux JO. Car il y avait LVMH en permanence, et plein de sportifs et artistes qui pratiquent "l'évasion fiscale"). Sa sévérité envers ses 2 autres fils. Je crois qu'Anthony a fait un gros travail de résilience et de pardon envers son Père. Et réciproquement. Je ne sais pas si il faut prendre pour argent comptant les propos gravissimes de G Fauré sur lui, vu le mythoman et sale type que c'est. Mais Il faudrait une enquête factuelle, et demander aux Marocains de souches, si c'est vrai que Hassan II a viré Delon du Maroc pour ses comportements sexuels déviants, voire pire ... Il a reçu la médaille de reconnaissance du pays en 2003... Hassan II était mort... Si on tire ce fil, on en tirerait bcp d'autres... Ceci dit, les Mitterand, Lang, P Berger etc. bénéficient toujours de tous les superlatifs. Malgré ce que l'on sait d'eux. Etc... Et les 3 autres enfants, qui ne travaillent pas ou peu, qui vont, j'espère ne pas se bouffer le nez pour sa fortune.

Sensationnel

2:20:10 faut pas avoir confiance en ce que dit le showrunner d'alien Earth. Avant la sortie de Romulus, Alvarez a dit lors d'une interview qu'il n'aime pas Prometheus et Covenant et l'idée que les androïdes ont créé l'alien, qu'il ne ferait pas ça. D'un côté, il dit « Rester fidèle à l’essence de la série » et de l'autre, on a une imprimante 3D à huile noire... J'ai lu le commentaire de quelqu'un qui dit connaître une personne qui travaille sur Alien Earth et apparemment, ça va encore être n'importe quoi. Bizarrement, j'ai plus confiance en un commentaire random qu'en la parole d'un réalisateur ou producteur de chez Disney ou Scott Free...

Merci de ce live où j’ai pu choper quelques titres de sa filmo que j’ai manqué. En regardant tout ce qu’il a fait je me demande si à partir des années 80 toute sa carrière n’était pas bouclée (plus de grands films en somme). Sans doute est-il blasé du métier à cette époque et il a continué malgré tout, s’assoyant sur ses lauriers « Ah, j’ai tourné avec les plus grands, etc.». Perso je trouverais déprimant que les gens me ramènent toujours à mes gloires du passé, mais lui-même en jouait et semblait se plaire dans ce rôle «passéiste». Pour un acteur aussi adulé on peut aussi voir qu’il traînait plusieurs casseroles, surtout du côté de sa vie personnelle. Mais bon, comme dit la célèbre phrase, «s’il n’avait pas existé, il aurait fallu l’inventer !». Salut l’artiste, repose en paix !

Je commence le replay de cette émission qui m'a été suggérée via le gentil algo, et bien lui en a pris ou à moi, dès le début, love le montage avec toutes les images du magnifique et grand Delon, et ensuite la présentation de chacun d'entre vous, bon enfant. Donc, déjà, cela me donne l'envie de continuer. Hop c'est parti

Dommage qu'il n'a pas tourné avec ses homologues comme Eastwood

Le dernier beau mec de sa génération après Elvis et Robert Rip from Delon

On me dit souvent que je ressemble à Alain de loin.

Des acteurs et actrices du cinéma français nées dans les années 30 il reste Pierre Richard et Brigitte Bardot. ❤️🙏

Critiquer le film après l'avoir vu en français est un non sens. Cela n'a vraiment aucun sens. Pour la scène d'ouverture, elle pourrait se passer en France. Il faut arrêter d'idealiser la situation en France, cf la situation à Marseille où on soupçonne des greffiers d'être corrompus.

Prometheus et Alien covenant ne sont pas canoniques avec l'univers de la mythologie d'Alien.

Salut, la pire créature que j'ai rencontré c'est ma belle-mère, lance-flammes, fusil d'assaut, impossible à vaincre.

je pense que vous confondez Pierre Vaneck avec Peter Van Eyck

juste une petite question ...vous l'avez vu ou Pierre Vaneck dans le salaire de la peur ou ça suite ?

Sérieusement, il faut arrêter de mal interpréter les films *Alien*. Vous êtes tous obsédés par cette idée que ça parle de viol et de sexualité forcée, mais en réalité, vous êtes complètement à côté de la plaque. Ces films traitent d'une peur bien plus basique : le caca, les matières fécales, et tout ce qui tourne autour. Les Xénomorphes, avec leur apparence noire, luisante et visqueuse, sont littéralement des métaphores de déchets corporels. Leur manière de se déplacer dans les conduits du vaisseau, c’est comme une matière fécale qui circule dans un système d’évacuation. Et vous continuez à vous focaliser sur des trucs sexuels ? Ridicule. Les décors des films, tout crasseux et oppressants, ne vous disent rien ? Ce sont des égouts spatiaux, des endroits sales et malsains, exactement comme des lieux où l'on évacue nos déchets. L’atmosphère de ces films crie l’impureté, la contamination, et vous passez à côté en vous focalisant sur des pseudo-théories sexuelles. Les Xénomorphes sont des incarnations de ce qu’on rejette, de ce qu’on veut à tout prix éliminer. Ils représentent le dégoût profond qu’on éprouve pour ce qui est sale et répugnant. Et pour ceux qui continuent à ne rien comprendre : regardez comment les personnages essaient de se débarrasser des aliens. Ils les expulsent et on tire la chasse! E' effet, l'expulsion du vaisseau par les sas d'ouverture vers lespace, avec les bruits de décompression qui vont avec est une metaphore juste ultra evidente de la chasse d'eau !! Faut juste etre aveugle pour pa ms comprendre cela!! On évacue l'alien, metaphore du caca, exactement comme on le ferait avec des excréments. Alors, avant de vous emballer avec vos interprétations superficielles, réalisez que vous avez complètement raté l’essence de ces films. Ce n’est pas juste une question de peur sexuelle, c’est une plongée dans le dégoût viscéral qu’on a pour le caca. Réveillez-vous...

Merci ❤

Pas d'accord avec vous... le film est bien meilleur en terme d'impact. Surtout sur la révelation finale. Celle de la série est abracadantesque genre pas crédible du tout. La série part complètement en vrille. Les persos sont completement changés pas forcemment pour le mieux. Le film reste vraiment top et cette musique entetante de John Williams. Et puis juste Harrison dans un role ambigu comme jamais... A aucun moment on craint pour la santé mentale de Jake Gylenhaal c'est mou niveau emotion

Ou carrément commencer avec la conquête daegon

Fallait commencer avec house of the dragon et ensuite de nos jours game of thrones

Je suis arrivé en retard 😅 Allez replay 👍

Pour moi le meilleur film de tout les temps

L histoires et bien caché mes a une histoire surtout c B-15 elle nous annonce des choses

Film de merde , heureusement quon ma invité histoire à chier , evenement a chier , ca parle meme pas de loki .

"le film sert a rien , sa va pas revolutionner mcu , sa va rester un ovni dans l'univers marvel, mais le film est bien je peu que vous conseillez dy aller les acteur sont TRES bon et je me suis bidonné toute la scéance ect " pas tout compris sur ta critique. Perso je lai trouver excellent l'univers Deadpool par excellence si jose dire meilleurs marvel depuis larc thanos et de loin

Poro

Mais non c'est comme les journalistes en ce moment les bleues au volley c'est une catastrophe il vont détruire leur sports et quand tu lis l'article ils racontent juste qu'il gagne tous, donc commencer sa vidéo en disant ce film ne sert a rien puis faire que des éloges, c'est quoi le but, franchement mauvaise critique bref je passe mon chemin 😢

Mon mini-avis sur ce "Twisters" : le réalisateur de «Minari» nous replonge dans les tornades, 28 ans après le 1er volet de Jan de Bont (et mon p'tit plaisir des 90's). Résultat, un blockbuster estival en zone de confort, reprenant plus ou moins les mêmes figures et thématiques que son prédécesseur. Un film-catastrophe (mâtiné d'une touche de rom-com) assez divertissant mais balisé, devant lequel on ne s'ennuie jamais vraiment, mais devant lequel on n'éprouve pas non plus grand-chose. 6/10.

Hello Guillaume, hello la team, un live qu'il faut absolument que je rattrape à mon retour de vacances. En attendant, le ptit Top des westerns qui m'ont marqué à travers les époques : Le Bon, la Brute et le Truand / Il était une fois dans l'Ouest / Impitoyable / Rio Bravo / L'Homme qui tua Liberty Valance / Danse avec les Loups / Django Unchained / La Flèche brisée / Butch Cassidy et le Kid / Les Affameurs / La Prisonnière du Désert / Hostiles / La Horde Sauvage / Little Big Man / L'Appât / Seuls sont les Indomptés / 3h10 pour Yuma (2007) / Josey Wales hors-la-loi / Mon nom est Personne / Il était une fois la Révolution / Le Trésor de la Sierra Madre / Vera Cruz / L'Homme des Hautes plaines / L'Homme de l'Ouest / Major Dundee / Du Sang dans le désert / Le Reptile / Le Massacre de Fort Apache / L'Homme aux colts d'or / Retour vers le Futur 3 ^^

🔥

T es beau mon Guigui 🔥😘😘

Salut ! 😄 Tu sais, la vie c'est comme un bon vieux caca : parfois, ça déborde et ça fait des dégâts, mais au moins, ça nous rappelle qu'il faut toujours garder un rouleau de papier à portée de main ! 💩🧻

super émission, comme d'habitude !

Le film est bien mais la fin VRAIMENT A CHIER désolé mais quand le méchant principal se réveille et se fais tué 1m après c'est abusé... mais le reste est top

En ce qui concerne la Charge Héroïque que Cinephage à trouvé avec trop de bla bla. Le titre français dessert le film. On s'attend trop à un film épique. Alors que le véritable titre : She wore a yellow rubon, correspond bien plus au fond du film.

Si possible passez nous il était une fois dans l ouest le dernier des mohicans

Merci pour ce live les gars (j'ai écouté en replay), C'était savoureux ;)

Je voudrais citer aussi La chevauchée fantastique, Winchester 73, La conquête de l'ouest, Les rôdeurs de la plaine, Fureur Apache, The Salvation, The Homesman, La mission, 1883

Je m'appelle jason 🎉🎉🎉🎉

Pour les initiés la version de 1953 démontre que l'homme n'est pas maître de son destin tandis que le remake de 1977 démontre......le contraire !

Hello Guillaume, un très chouette live du dimanche, comme d'hab 😊👍 (à vous écouter, je sais pas trop si je dois me plonger dans The Acolyte ^^ Et pour HOTD, j'aime beaucoup cette saison 2, qui à l'image de la saison précédente, fait monter la tension petit-à-petit, et c'est toujours bien écrit et interprété) Au passage, et comme d'hab aussi, mon "petit" avis sur Le Comte de Monte Cristo : "Ce n'est pas de la vengeance, c'est de la justice." Après le diptyque (plus ou moins réussi) «Les 3 Mousquetaires» l'année dernière, Pathé continue de développer son "Dumasverse", en s'attaquant à la nouvelle adaptation d'une autre des œuvres les plus célèbres de l'auteur français, histoire d'amour, de trahison et de vengeance. Le duo Matthieu Delaporte-Alexandre De La Patellière (déjà à l'écriture sur les Mousquetaires) nous propose une adaptation dans l'air du temps, un blockbuster populaire (bénéficiant une nouvelle fois d'un budget très conséquent, ici de 43 millions d'euros) aux costumes et aux décors somptueux, et emprunt d'une ambition certaine (à l'image de sa séquence d'ouverture, nous plongeant de suite dans l'intrigue, et ce de manière efficace). Portant quasiment le film sur ses seules épaules, Pierre Niney s'avère plus que convaincant et charismatique dans le rôle principal, en particulier quand il devient ce fameux Comte à double visage (que personne (ou presque) ne reconnaît, alors qu'il est sommairement grimé. Suspension d'incrédulité, quand tu nous tiens ^^), au jeu et au regard intenses, sûr de lui et de son plan machiavélique, tout en étant dévoré par la colère qui l'habite depuis si longtemps. Un personnage dépeint dans cette nouvelle adaptation comme une sorte de Bruce Wayne/Batman (la séquence de combat nocturne vient clairement souligner ce parallèle) : victime, juge et bourreau ("C'est moi qui récompense et c'est moi qui punis"), obsédé par sa quête de "justice" et usant de toute sa fortune pour la mener à bout, s'entourant par la même occasion de deux jeunes recrues (son Robin et sa Batgirl ?), ayant elles aussi des raisons de se venger de ces mêmes hommes. Face à eux, une belle galerie d'antagonistes, très bien incarnés par Laurent Lafitte, Bastien Bouillon et Patrick Mille, jaloux, salauds et profiteurs. Dans le rôle de son ancienne bien-aimée, Anaïs Demoustier semble un peu plus en décalage avec le reste du casting, parfois moins convaincante dans son jeu. Quelque part entre le thriller en costume, le drame psychologique et le film d'arnaque plutôt habile, une œuvre imposante et bien rythmée, dont le souci principal vient, à mes yeux, du fait de trop vouloir apposer les codes du blockbuster américain à cette œuvre à l'ADN français, et vient parfois impacter directement la force dramatique qui peut se dégager de telle ou telle scène, la rendre moins "palpable". Un choix qui m'a particulièrement marqué dans le dernier tiers du film, jusqu'à flirter notamment par moments avec les codes du cinéma de Michael Bay, avec sa musique pompière et pas très inspirée, et sa mise en scène grandiloquente (la caméra tournant autour de ses personnages, avec ses effets ralentis), notamment lors de son duel final. Comme dit plus haut, l'ambition est bien là, mais pas forcément toujours illustrée de la meilleure des manières à l'écran. Bref, je ne me suis jamais ennuyé devant ces 3h de film et laissé prendre par cette quête de vengeance et ce jeu de dupes (peut-être parce que je découvrais pour la première fois cette histoire, n'ayant pas lu l'ouvrage de Dumas, ni vu aucune des adaptations cinématographiques/télévisuelles qui ont vu le jour), en particulier grâce à son casting, Niney en tête, et la volonté bien présente de son duo d'auteurs-cinéastes de nous proposer une œuvre romanesque et exigeante, ce qu'il parvient à faire en grande partie. Mais un film de qualité que j'aurai voulu un peu plus marquant, la faute à une exécution parfois trop blockbusterisante à laquelle je n'ai pas été très sensible et que j'aurai souhaité un peu plus incarnée, à l'image de son protagoniste principal. 7/10.

Quand est ce qu'on va pouvoir la regarder sur youtobe