Видео

Merci pour le partage ! Peut-on voir les résultats des tests en labo quelque part ?

Ce que j'apprécie chez vous, c'est qu'on voit les végétaux.

Merci. Je vais essayer de repérer le lierre terrestre. Voir si ça résiste sur mon terrain caillouteux.

J'attends avec impatience les capsules sur vos expériences. En attendant, je remplis des pages de projets en syntropie, je rêve, bouture, sème et composte. En ce moment je traque les feuilles.

Le problème avec le paillage en vert, c'est que c'est digéré en quelques jours en été et on voit la terre nue. Rrrr. Donc je complète le menu en taillant les arbres avec mon petit sécateur.

J'aime votre réserve et votre mesure.

Bon, même les indésirables sont perturbées sur une butte plutôt qu'arrachées... Sur une minuscule butte d'où je peux facilement les enlever. Certaines ont adoré les chardons, la potentille rampante.... Mais j'insiste. Le lierre et les ronces n'ont pas trop aimé pour l'instant. J'attends pour voir sur le long terme pour le trèfle et les boutons d'or. Expérience sur plusieurs années avant de m'emballer.

Une réussite, une minuscule allée de menthe, piétinée régulièrement et rasée pour pailler à droite et à gauche. Je teste petitement pour éviter les grosses bourdes. Il me faudra encore deux ans pour vérifier sur le long terme. En attendant, j'ai assez de matière, menthe, topinambours, camomille, jasmin d'hiver, lavandes, prunelliers, romarin, cannes de Provence... Mes increvables, pour tester hors du cocon clôturé du potager, la syntropie avec mes ''pestes'' . La pression de la grande faune sauvage est pléthorique sur ma prairie sèche ravagée jusqu'aux cailloux. Au pire, je préserve le sol.

Ne riez pas, j'ai testé sur deux gros pots identiques. Dans les deux des fraisiers. Pour perturber, l'un de la camomille, l'autre de la menthe. Les fraisiers avec la menthe sont sortis du pot et ont colonisé loin la butte adjacente. Les deux avaient les mêmes boutures au sol en plus. Je ne m'emballe pas. J'attends la production de fraises au printemps. Pour produire des stolons, celui avec la menthe est gagnant, Voir les fraises. Voir si la menthe, à longue échéance n'étouffe pas les fraisiers. Ce serait ballot !

Comme vous, j'ai commencé avec les capsules sur la syntropie et je continue avec mes propres expériences. Je n'ai aucun arbre cité par Anaëlle. J'essaie de faire avec un petit budget. Donc depuis un an, je bouture, ramasse des graines et sème des arbres. L'été prochain, je planterai les tournesols seuls, pour pailler un peu plus loin. Cet été, ce qui a provoqué des sauts du chat, ce sont les perturbations des pestes dont j'ai eu peur jusque là : la menthe dans les allées et les topinambours en base des buttes. Elles ont paillé tout l'été et ont stimulé les plantes à côté. Entre les maïs, j'avais mis des tas de salades en semis denses que je transplantais ailleurs ( le sol était couvert).

J'adore.

Merci.

Je ralentirai les tournesols l'an prochain. Ou je fais des parcelles intermédiaires avec des tournesols seuls. Mélangés, ils bloquent les voisins chez moi. Canicule et pas d'eau 11 jours.

J'avoue avoir paillé ce printemps avec blettes et salades. J'en avais trop

La menthe, je n'en consomme que peu, par contre c'est un fournisseur de biomasse extraordinaire. Comme j'ai peur de me laisser envahir, je la cultive dans les allées et je la piétine. Par contre, la menthe est toujours très prisée sur les marchés...

Cette année, je recommence les semis de fèves et pois. La biomasse générée a été impressionnante. Par contre, elle a été ''digéré'' très vite. Je mélange avec pruneliers et cannes de Provence jeune. Je continue la syntropie. Je bouture toute l'année romarin, camomille, lavande jasmin d'hiver. J'intensifie les topinambours. La menthe dans les allées.

Merci! je ne trouve pas la vidéo avec vos résultats, ça m' intéresse beaucoup👍

Parmi les solutions naturelles (=sans produit chimique) que j'ai expérimentées, une des solutions les moins chères et les plus efficaces est la suivante : du ruban adhésif en cuivre collé sur une bande de plastique de 25-30 cm de haut, on enterre le bas et on fait tout le tour de la parcelle avec des piquets. Le cuivre tourné vers l'extérieur, bien sûr. Il faut bien sûr fabriquer ça soi-même car ça n'existe pas. Mais le scotch de cuivre se trouve facilement en ligne (recherche Gloogloo). Par ailleurs, autant utiliser un plastique résistant aux UV qui va durer plusieurs années genre plastique d'ensilage ou transparent anti-UV pour les tomates (plus cher, évidemment). Ce que je ne sais pas, c'est l'efficacité quand c'est oxydé, car ça finit forcément par arriver, mais l'efficacité ne sera pas forcément moindre. Cela ne nuit pas aux limaces qui parcourent les allées, mais le cuivre est un vrai répulsif. Dès qu'elles le touchent, elles se recroquevillent sur elles-mêmes. C'est à mon avis plus efficace que le produit anti-limaces. La seule contrainte est de débarrasser les abords de la barrière de toutes les herbes qui pourraient la surmonter, ou alors de la faire plus haute. Vous trouverez quand même des limaces dans votre parcelle : ce sont celles qui y sont nés (oeufs pondus bien avant l'installation de la barrière), ou que vous avez apporté accrochées à un pot de plantation, ou qui sont passées par dessus accrochées à une herbe surplombante. Ma solution de barrière est compatible avec le paillage, que je pratique beaucoup (économie d'eau, surtout). Il y a d'autres petits prédateurs de vos salades, comme les lézards. Contre leurs attaques, je mets plutôt du voile anti-insectes enterré sur les cotés ou monté sur des structures individuelles en grillage. (je copie-colle ma solution sur différentes vidéo qui traitent des limaces)

Bonjour,as-tu remarqué des variables encore plus importante les nuits de pleine lune?

bonjour deja merci pour la video j ai trois filtre de 1m2 30cm de petit galais une toile filtrante et 40 cm de sable de riviere le tout bien laver l eau arrive dans mon bassin claire si je fait un autre filtre avec galais sable et 20cm de charbon sablle encore charbon et sable tu pense quelle sera meilleur mon eau je precise ce de l eau de riviere en montagne

J'ai fait le même test l'année dernière avec du tritical sous mon noyer, ça marche très bien ! Juste un peu de paille par dessus les grains semés ! Les poacées sont tolérantes à la juglone. J'avais semé en juillet donc je les ai bien laissé mûrir avant la moisson manuelle 👍

Merci !

Merci !

du coup tu ne couvres plus avec du lierre ?

omg t'es un génie merci pour cette video ultra pertinente jme disais que javais eu cette idée de génie et jme met a cherché des experiences déja réalisé pour gagner du temps avant de m'y lancer et jvois que t'es là avec ta video factuellement ultra probante tel un grand génie comme il s'en fait peu encore actuellement j'en avais jamais entendu parlé pourtant ca résoud un si grand nombre des problematiques dont parles si souvent la plupart des permaculteurs !

Le paillage, ça ne marche pas. J'ai mis au moins 20 cm de foin sur une partie de mon terrain, les ronces traversent, et meme les orties. La seule solution, la faux, puis la houe ou la bêche (au choix) pour un bon desherbage et si on ne veut pas de bâche, du carton de récupération. Le paillage, ça ne marche pas. Ou il faut un mètre d'épaisseur (?)

Salut, je viens de découvrir ta chaîne, je suis très content ! La question de la conversion de la prairie en zone cultivable est en effet assez passionnante. Le paillage peut fonctionner mais seulement si on n'a pas de chiendent. On a commencé comme ça la première année et ça a été un carnage. A la houe, on parle de pseudo-labour, ça ressemble plutôt à un bêchage et c'est beaucoup moins destructeur qu'un passage à la charrue et surtout avec des animaux ou machines lourdes. Chez nous, une personne expérimentée laboure 50m²/h. A deux, je pense qu'on fait plus de 100m² par heure, grâce à l'effet bénéfique qu'à l'instinct grégaire sur nous. Nous avons un sol sans pierre et avec un peu d'argile, donc une terre très argileuse serait un peu plus longue à travailler et nécessiterait une autre forme de houe. Concernant la problématique du travail du sol et quand le travailler, si on ne veut vraiment pas tuer le moindre vers de terre, ou en tout cas éviter, l'idéal est d'avoir une houe très large, bien aiguisée, avec laquelle on va scalper. Nous avons planté des patates en un rien de temps au printemps en scalpant 30m² en moins d'une heure (1 personne), puis en plantant les pommes de terre au cordeau avec un simple coup de bêche pour ouvrir le sol et faire tomber le tubercule. La culture et la récolte des patates implique qu'on va aérer le sol qui sera prêt ensuite à recevoir des fabacées ou des céréales qui nécessitent peu d'azote (seigle par exemple). Dans notre prairie, nous avons essayé la méthode BREF (BRanchages Et Foin), pour surélever le foin dans l'espoir d'empêcher le chiendent de percer. Ca n'a pas marché, et au final les efforts fournis sont 3 fois plus importants que si nous avions travaillé à la houe et semé du seigle. Je suis assez convaincu pour l'instant (mais ça changera peut être) que le travail à la houe + mulch ou compostage reste le meilleur rapport énergie/résultat.

Merci pour cette vidéo. Nous nous sommes largement servi de votre conception pour construire le nôtre. Pour moi, il répondait tout à fait à mes demandes : en 2 parties, avec pied qui se plie et assez facile à concevoir. Bref, il est terminé et en test ce jour avec pommes, verveine et menthe. A suivre. Encore un grand merci.

Peut-être utiliser le miscanthus comme paillage: c'est une plante vivace qui peut être taillée chaque année. J'ignore quelle est la meilleure plante pour le paillage lorsqu'on analyse le ratio "espace pris au sol / biomasse produite". Habitant à Lyon, nous avons des températures élevées l'été. Le miscanthus a un type de photosynthèse "C4" donc il pousse bien quand il fait chaud, à un moment où les plantes C3 peinent à pousser lorsqu'il fait chaud Le Paulownia est utilisé en agroforesterie car sa pousse est ultra-rapide. Sa photosynthèse C4 l'aide à combattre la chaleur également.

Espèce de trou de cul de petit gauchiste, de petit Français.

Suggestion à tester pour éviter d'extraire l'énergie d'une parcelle pour la mettre sur une autre: Une bâche étendue sur la surface à transformer est probablement se qui demande le moins d'effort mais elle offre un milieu propice aux petits animaux comme le campagnol et elle n'est pas très écologique ni durable en tant que survivaliste. Autre possibilité: Sur la parcelle à convertir en prairie il faudrait d'abord détruire la végétation existante pour ensuite y semer densément des plantes à forte biomasse comme le mais et le tournesol. Ces plantes seraient ensuite détruite et les laisser au sol pour finir le travail de destruction des végétaux existant en les privant de lumière. Comment détruire les végétaux existants? Avec un rouleau Faca que l'on tire à la main ou avec un animal. Ou avec un surpâturage fait par des moutons qui aura comme avantage d'y ajouter des excréments bénéfiques aux vivants du sol.

Je vais tester avec mes chèvres parce que j'ai remarqué qu'elle mange certaines plantes tardivement. Par exemple je les ais laissé longtemps dans un parc et naturellement j'ai de la Menthe vivace mais elle mange les bouts de tiges tard quand elles sont en fleurs comme la luzerne. Donc il sait passé qu'elles ont favorisé la pousse de la menthe puisqu'elles mangeaient les graminées. Du coup la question est: est-ce qu'on peut semer une plante annuelle qu'elles ne mangeraient pas ou tard pour étouffer la prairie et produire un couvert pour implanter une culture suivante ?

Les graminées faut couper au dessus de la gaine, voir le pâturage tournant dynamique d'André Voisin.

Perso je fauche, je laisse sur place la matière, je greline légèrement et je bache avec de la tissé. Certe c'est de la bache mais niveau effort et quantité de matière nécessaire c'est le meilleur compromis

Très intéressant, merci. J'envisage d'utiliser le sorgho en alternance un an sur deux pour la structure du sol par les racines et l'apport en matière organique en fin de culture (après récolte du grain) , du coup je suis curieux de voir les résultats. 😀

essaie très intéressant ! Merci du partage

Passionnant ! Bravo continuer :)

Pourquoi s'emmerder à faire pousser des céréales quand le rendement en kg des légumes est 10 fois plus important? D'ailleurs nos ancêtres lointain, avant l'invention de l'agriculture, n'ont jamais fait des céréales leur aliments principals comme aujourd'hui. Nos ancêtres mangeaient principalement des plantes vertes de la forêt, du poissons, du petit gibier, des fruits de saison et parfois, car risqué, du gros gibier. Le problèmes avec les céréales c'est que la récolte manuelle c'est long et qu'on ne peut pas les manger sans fortement les transformer. Un autre point, des chercheurs soupçonnent de plus en plus nos nouvelles habitudes alimentaires fortement basé sur les céréales comme la principale source de l'obésité dans le monde. Cependant je dois avouer que l'avantage des céréales c'est que, dans de bonnes conditions, elles se conservent plusieurs années (contrairement aux légumes et la viande). Les céréales permettent donc de se constituer des réserves pour les jours de disette. Elles peuvent même devenir une monnaie d'échange, ce qui n'est pas à négliger, d'ailleurs l'histoire nous le prouve bien. Tout cela pour dire que dans mon cas je ne fais pas pousser de céréales car c'est trop peu productif et ce n'est de tout façon aucunement essentiel à une bonne santé.

Salut J’ai semer au 20 juillet l’année dernière 1,2ha, trop de graminées on poussé dedans c’est les animaux qui on mangé . Cette année ça sera que fin août car la parcelle vient seulement d’être fait en foin. Essais intéressant continue. Pour les avantages d s blé ancien : augmentation de la biodiversité (sur tous si semis mélange) Valeur nutritive plus intéressante, et équilibrée Meilleur tolérance au la concurrence avec les adventices.

super essais

Dans le sud-est espagnol, j'ai semé du blé entre mes rangées d'olivier espacées de 3m, et ça a bien fonctionné. Je ne le fais plus car les oiseaux mes pillent 100% des grains. En zone semi-désertique, ils se réfugient sur mon terrain, et y trouvent de l'eau, des fruits, des insectes et de l'ombre. Seule la 1ère année a été productive, la seconde ils ont compris l'aubaine.

T'as essayé avec des noyers beaucoup plus vieux et hauts avec une taille type parasol... Parce que là, ta plantation de blé avec des noyers aussi petits cela n'as aucun sens... Le profil racinaire de tes noyers est pas assez profondément installé dans le sol et leur tronc est trop court, donc l'ombrage au sol est beaucoup trop important, sans parler de la circulation d'air.....

Pourras-tu nous dire si le blé sous le noyer à un incdent sur la production de noix?

Merci.

Merci, les féverolles ne sont pas monté malgrés le manque de lumière mais plutôt à cause du manque de lumière et 50 cm pour une féverolle c'est quasi normal. Et l'ergot du seigle est en grande partie liée à l'humidité lié à l'ombre. Puis vu justement l'aspect "monté", finesse de la tige, est plutôt une fragilité, à la verse notament. A vu de nez rdt de moins de 5 qx.

Tout ça c'est c*n comme la lune!!!!... Il n'y a qu'un seul arbre sous lequel c'est bon!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Tous les peuples du Tiers Monde le savent et le font.... et ça marche super bien... les français bla bla bla blaaaaaaaaaaaaaa.......................

Merci pour ces partages ! T'es incroyable dans tes expérimentations. Continue de nous tenir au courant, c'est important. Encore merci

Super intéressant, merci

Merci pour tes commentaires et pour le suivi de tes recherches ! Bravo à vous tous ❣️Belle suite d’été 🌈