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Update? 🙂

Quand t'as eu la chance de connaitre la vie de grande ville et de l, Abitibi, le choix est facile a faire. Pour ma part, je suis natif (entre l'Abitibi et Temiscamingue) et j'y retournerais vivre dans l'nord demain matin!!! Beau reportage merci.

Il est dit que nul n’est prophète en son pays! Ce fut le cas pour les aïeux de ces jeunes-là qui sont venus, sous promesses d’acquérir leurs royaumes dans un monde foudroyé par le ‘’crash’’ de 1929, défricher l’impensable. Et pourtant! Être témoin, par ce charmant documentaire, de jeunes qui se disent reconnaissants envers ceux qui ont bâti le sol sur lequel ils-elles vivent et les toits sous lesquels ils-elles se logent, est touchant. Le message de la fin l’est tout autant. Le partage des ambitions, de projets et des aspirations de chacun d’entre-eux confirme bien que, d’où que l’on vienne, les rêves, les fantasmes et les envies, souvent repensées, sont l’apanage de la jeunesse et la locomotive des décisions, des directions et, trop souvent hélas, des compromis que la route de la vie nous fait prendre, pour le meilleur et pour le pire. Les plans, les projets, les rêves et les fantasmes s’amenuissent avec l’âge parce que, on en a trop fait et/ou on en sait trop; les vérités de l’existence nous ramènent souvent trop brusquement sur le plancher de vaches. C’est selon moi, du haut de mes 64 ans, le seul véritable désagrément de la vieillesse. Moi, ‘’gars de la ville’’ (Montréal), ou plutôt de villes, insatiable consommateur de ‘’urban living’’ dans le chic et glamour des belles années dans les plus grandes métropoles américaines et Canadiennes, parsemées de Londres, Paris et Bruxelles, ‘’Jet Setter’’ subsonique et supersonique, perdu dans mes nuits de discos des années 70 jusque dans les Mecque les plus mythiques de la House Music des année 90, partagé entre le ski (acrobatique) et mes professions en Marketing, ventes et relations publiques, bien cravaté, j’eus été la Star d’un désopilant spectacle d’humour s’il eut fallu me planter au milieu d’une foret Abitibienne à bucher du bois, croyez-moi. Or, je m’incline devant ces vrais hommes dont l’ARN transmet, depuis des générations, une virilité qui leur est propre et qui ne peut être substituée. Vous pouvez être très fiers de qui vous êtes et, indissociablement, de qui vous venez. Moi qui ai voyagé (presque) partout dans cette province (et dans les autres), faudra bien que j’aille faire un tour de votre beau coin de pays avant que je ‘’casse ma pipe’’. Merci pour ce post 😊.

Super +++ ! 👌j'ai adoré visionner cette vidéo !👌 Merci infiniment pour ce partage ! Je vous envoie ce commentaire de France, d'où mon étonnement, mon émerveillement, (dû déjà au dépaysement, mais pas que ...) C'est excellent ! Merci encore car ça m'a fait trop plaisir de découvrir ! Au fait, c'est quoi la chanson de la fin ?

ouf le gars tellement négatif des ti jo connaissant, cest bizzard la manière donc il diminue ceux qui travaille dans les mines en mentionnant que lui veux "s'instruire " , cest quand meme ironique parceque ces metier la de " peux instruit" est ce qui fait marcher la region , ce qui permet a des familles de se fonder , ce qui permet du temps de qualité , avec des familles plus aisées . des hommes des vrais , sa cest des jaloux , des fuck all , escque il travaille encore cher iga ?

OMG j'adore trop ce documentaire!! Native d'Amos, ça m'intéresse énormément :)

Exactement y arrive un temps que l’on veut retourner en Abitibi , aux Mexique depuis 20 ans !

La VRAI VIE LIBRE 🤔🙄! ? 😎.👍 💙 Ps : J'ai Visité Raoul Dugay à MONTRÉAL ! 😊💔

C'est presque incompréhensible pour un français de les comprendre

Un ciel si dur que tombaient les oiseaux...

Pfff quelle aventure ...

merci a vous de se reportage ,bien réel .

Beau souvenir d'une génération de bâtisseurs.

xD!!!!!!..

Il y a d'autres types de jeunes en Abitibi ça aurait été le fun de voir d'autres témoignages.

très intéressant comme documentaire bon travail :)