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Poème
Канада
Добавлен 6 ноя 2011
Poèmes et poètes
à Madame la princesse douairiere Charlotte de la Trimouille, François de Malherbe
à Madame la princesse douairiere Charlotte de la Trimouille, François de Malherbe
dit par Gilles Bellino
Poésie du grand siècle
2025
à Madame la princesse douairiere
CHARLOTTE DE LA TRIMOUILLE
1605
Quoy donc ! grande princesse, en la terre adorée,
Et que mesme le ciel est contraint d’admirer,
Vous avez résolu de nous voir demeurer
En une obscurité d’eternelle durée ?
La flamme de vos yeux, dont la Cour éclairée
A vos rares vertus ne peut rien préférer,
Ne se lasse donc point de nous desespérer,
Et d’abuser les voeux dont elle est desirée ?
Vous estes en des lieux où les champs tousjours vers,
Pour ce qu’ils n’ont jamais que de tiedes hyvers,
Semblent en apparence avoir quelque mérite ;
Mais, si c’est pour ...
dit par Gilles Bellino
Poésie du grand siècle
2025
à Madame la princesse douairiere
CHARLOTTE DE LA TRIMOUILLE
1605
Quoy donc ! grande princesse, en la terre adorée,
Et que mesme le ciel est contraint d’admirer,
Vous avez résolu de nous voir demeurer
En une obscurité d’eternelle durée ?
La flamme de vos yeux, dont la Cour éclairée
A vos rares vertus ne peut rien préférer,
Ne se lasse donc point de nous desespérer,
Et d’abuser les voeux dont elle est desirée ?
Vous estes en des lieux où les champs tousjours vers,
Pour ce qu’ils n’ont jamais que de tiedes hyvers,
Semblent en apparence avoir quelque mérite ;
Mais, si c’est pour ...
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Le courroux d’un amant n’est point inexorable..., André Chénier
Просмотров 582 часа назад
Le courroux d’un amant n’est point inexorable..., André Chénier dit par Daniel Chamar Le courroux d’un amant n’est point inexorable. Ah ! si tu la voyais, cette belle coupable, Rougir et s’accuser, et se justifier, Sans implorer sa grâce et sans s’humilier. Pourtant de l’obtenir doucement inquiète, Et, les cheveux épars, immobile, muette, Les bras, la gorge nue, en un mol abandon, Tourner sur t...
Comment parvenir à te saisir..., Yeguiché Tcharents
Просмотров 694 часа назад
Comment parvenir à te saisir..., Yeguiché Tcharents dit par Charles Taronne Comment parvenir à te saisir, Comment te faire une place en ma vie, Alors que tu n'es pas, que tu ne seras pas Et que tu vis, et que tu es éternel ?
Collége ancien, Georges Rodenbach
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Collége ancien, Georges Rodenbach dit par Claude Fournier RCF, 2022 COLLÈGE ANCIEN Parmi le rose éclat du Soir pacifié À la douceur duquel nul songeur ne résiste, Je le revois souvent, mon grand collège triste Dans un éloignement qui l’a sanctifié. Ces temps qu’on croit lointains et qui sont encor proches, Par le ressouvenir du cœur ― je les revis Ces jours pleins de vitraux et pleins de crucif...
Pour un dictionnaire, Philippe Soupault
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Pour un dictionnaire, Philippe Soupault dit par André Vibaire POUR UN DICTIONNAIRE Philippe Soupault dans son lit né un lundi baptisé un mardi marié un mercredi malade un jeudi agonisant un vendredi mort un samedi enterré un dimanche c'est la vie de Philippe Soupault
La mer quand elle fait son lit, Guy Goffette
Просмотров 11321 час назад
La mer quand elle fait son lit, Guy Goffette dit par Danièle Vaginay RCF 2024
Il s'écoule et roule sa vague..., Yeguiché Tcharents
Просмотров 7021 час назад
Il s'écoule et roule sa vague..., Yeguiché Tcharents dit par Charles Taronne R.P. 2025 IV Il s'écoule et roule sa vague Jamais identique à lui-même Il coule et roule sa rumeur, Avenir et passé, temps présent.
D'abord derrière les roses..., Georges Schehadé
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D'abord derrière les roses..., Georges Schehadé dit par Marie-Agnès Salehzada Radio FM plus 2016 D’abord derrière les roses, il n’y a pas de singes Il y a un enfant qui a les yeux tourmentés
Le Ventoux, Théodore Aubanel
Просмотров 76День назад
Le Ventoux, Théodore Aubanel dit par Guy Venpré Lou Ventour Ventour espetaclous, nis d’aiglo e d’aubanèu, Toun front nus, à l’adré, blanquejo sout la nèu ; A l’uba, la fourèst ibi ta tèsto negrasso ; Li loup trèvon ti draio ounte l’ome s’alasso, E di vilo naneto eilavau lou troupèu S’esparpaio : vivènto an lou chut dou toumbèu. Lou mistrau te bacello e lou soulèu t’embrasso ; Tu, mountes aut e ...
Tout homme a ses douleurs..., André Chénier
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Tout homme a ses douleurs..., André Chénier XLIII Tout homme a ses douleurs. Mais aux yeux de ses frères Chacun d’un front serein déguise ses misères. Chacun ne plaint que soi. Chacun dans son ennui Envie un autre humain qui se plaint comme lui. Nul des autres mortels ne mesure les peines, Qu’ils savent tous cacher comme il cache les siennes ; Et chacun, l’œil en pleurs, en son cœur douloureux ...
Le renard et le Félibrige, Joseph Roumanille
Просмотров 4814 дней назад
Le renard et le Félibrige, Joseph Roumanille dit par Guy Venpré LI REINARD E LOU FELIBRIGE Mort de fam, un reinard, souto uno grando touno, Sautavo, prenènt vanc, pèr pousqué davera De rasin. Aurigs di que lis avien daura. Oh ! la bello frucho d'autouno ! S'espetavon, de tant qu'èron plen e madur. An ! zôu ! sauto, sauto, voulur ! S'au mens avié lou bou pèr ie faire esquineto ! Aguè hùu prone v...
Coéternel, Tamirace Farkhoury
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Coéternel, Tamirace Farkhoury lu par l'autrice www.cipmarseille.fr/lire-ecouter-voir/229 www.lorientlejour.com/article/1247336/de-tamirace-fakhoury.html
Une souffrance océanique, Magda Cărneci
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Une souffrance océanique, de Magda Cărneci Lectrice Danielle Vaginay RCF, " Ondes-poétiques ", 2024
Où je veux mourir, Joseph Roumanille
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Où je veux mourir, Joseph Roumanille dit par Guy Venpré MOUNTE YOLE MO CRI A MA MAIRE, PIERRETTO DE PIQUET Dins un mas que s'escound au mitan di poumié, Un bèu matin, au tèms dis iero, Siéu na d'un jardinié 'mé d'uno jardiniero, Dins li jardin de Sant-Roumié. De sèt pàuris enfant venguère lou proumir... Aqui ma maire, à la testiero De ma brèsso, souvent vihavo de niue 'ntiero Soun pichot malaut...
Mur, Tamirace Fakhoury
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Mur, Tamirace Fakhoury lu par l'autrice www.cipmarseille.fr/lire-ecouter-voir/229 extrait de Aubades Tamirace Fakhoury vendredi 23 novembre 2007 www.lorientlejour.com/article/1434933/pour-qui-pourquoi-et-sur-quoi-les-femmes-poetes-libanaises-ecrivent-elles-.html www.lorientlejour.com/article/1247336/de-tamirace-fakhoury.html
N’importe quoi ! Mais pas ces jours tranquilles..., Olena Tèliha
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À un proscrit espagnol, Frédéric Mistral
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Personne n'est poète..., Henri Michel Yéré
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Le Poète ? C’est le type qui est là-bas..., Emmanuel Godo
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Le Poète a toujours raison/ qui voit plus loin que l'horizon/ et l'avenir est son domaine ... Jean FERRAT
P.... Mais f... T... G... ! Tu massacre un poème de Bukowski avec ta voix d'attardé ... Bois, pisses, baises et chies mais f'''' t'' g''''' physiquement, intellectuellement, et éternellement ... S'il te plaît
Denis Lavant, acteur et diseur magnifique !❤
Face aux ténèbres.. Entre ombre et barbarie..
Aimé Césaire est Aimer .
vesselam
Je m'en suis séparé. Dereliquerunt me fontem aquae vivae. Mon Dieu, me quitterez-vous? Que je n'en sois pas séparé éternellement. Avinu Shebashamayim?
Ces mots m ont aidé à traversé des moments difficiles.. Merci à vous ✨
Michael londasle fait toute la différence ! Magnifique
Lu Ventur 😊
Splendide dans sa véracité. Merci!
Bravo❤
Bravo ❤
Bravob❤
Oe
Sa veut r dire
Magnifique
@@Nejma69 bonjour vous êtes là fille de saliha berrouel
@samirbelhamra7795 Non, pas du tout
c'était mieux stronger than you honnêtement
Je ne sais pas encore ajouter l accent circonflexe sur le a, désolée.
O l ome te cal decir lo massss ...dommage que la personne parle sans l accent provençal !!!!! Le mas ( bâtiment provençal)on lui prononce le s final. Sinon ça fait " mat de bateau "
La mort n'est point notre issue, Car plus grand que nous Est notre désir, lequel rejoint Celui du Commencement, Désir de Vie. La mort n'est point notre issue, Mais elle rend unique tout d'ici : Ces rosées qui ouvrent les fleurs du jour, Ce coup de soleil qui sublime le paysage, Cette fulgurance d'un regard croisé, et la flamboyance d'un automne tardif, Ce parfum qui nous assaille et qui passe insaisi, Ces murmures qui ressuscitent les mots natifs, Ces heures irradiées de vivats, d'alléluias, Ces heures envahies de silence, d'absence, Cette soif qui jamais ne sera étanchée, et la faim qui n'a pour terme que l'infini... Fidèle compagne, la mort nous contraint À creuser sans cesse en nous pour y loger songe et mémoire ; À toujours creuser en nous le tunnel qui mène à l'air libre. Elle n'est point notre issue. Posant la limite, Elle nous signifie l'extrême exigence de la Vie, Celle qui donne, élève, déborde et dépasse =
Je doit l apprendre RIP moi 😢
air de poésie qu'on apprenait à l'école nous chuchotes encore comme au enfants sages l'avenir de demain
🎉 bien
Sublime... שבת שלום ותודה
Bravo❤
Poème appris en 1974 .......
Génial 👍 parfait extraordinaire ❤😊
Merci beaucoup 😄
This is what inspired Debussy
❤❤❤
Merci de faire connaître cette interprétation !
Sensational & definitely wondering.
Tiens, pas de commentaire pour dire que c’est bien. Et heureusement pas de musique
9:50
COOL!
❤❤❤❤
LUI - Ta poitrine sur ma poitrine, Hein ? nous irions, Ayant de l'air plein la narine, Aux frais rayons Du bon matin bleu, qui vous baigne Du vin de jour ?... Quand tout le bois frissonnant saigne Muet d'amour De chaque branche, gouttes vertes, Des bourgeons clairs, On sent dans les choses ouvertes Frémir des chairs : Tu plongerais dans la luzerne Ton blanc peignoir, Rosant à l'air ce bleu qui cerne Ton grand oeil noir, Amoureuse de la campagne, Semant partout, Comme une mousse de champagne, Ton rire fou : Riant à moi, brutal d'ivresse, Qui te prendrais Comme cela, - la belle tresse, Oh ! - qui boirais Ton goût de framboise et de fraise, O chair de fleur ! Riant au vent vif qui te baise Comme un voleur, Au rose, églantier qui t'embête Aimablement : Riant surtout, ô folle tête, A ton amant !... ............................................. Dix-sept ans ! Tu seras heureuse ! Oh ! les grands prés, La grande campagne amoureuse ! - Dis, viens plus près !... - Ta poitrine sur ma poitrine, Mêlant nos voix, Lents, nous gagnerions la ravine, Puis les grands bois !... Puis, comme une petite morte, Le coeur pâmé, Tu me dirais que je te porte, L'oeil mi-fermé... Je te porterais, palpitante, Dans le sentier : L'oiseau filerait son andante : Au Noisetier... Je te parlerais dans ta bouche ; J'irais, pressant Ton corps, comme une enfant qu'on couche, Ivre du sang Qui coule, bleu, sous ta peau blanche Aux tons rosés : Et te parlant la langue franche... Tiens !... - que tu sais... Nos grands bois sentiraient la sève, Et le soleil Sablerait d'or fin leur grand rêve Vert et vermeil. ............................................................. Le soir ?... Nous reprendrons la route Blanche qui court Flânant, comme un troupeau qui broute, Tout à l'entour Les bons vergers à l'herbe bleue, Aux pommiers tors ! Comme on les sent toute une lieue Leurs parfums forts ! Nous regagnerons le village Au ciel mi-noir ; Et ça sentira le laitage Dans l'air du soir ; Ca sentira l'étable, pleine De fumiers chauds, Pleine d'un lent rythme d'haleine, Et de grands dos Blanchissant sous quelque lumière ; Et, tout là-bas, Une vache fientera, fière, A chaque pas... - Les lunettes de la grand-mère Et son nez long Dans son missel ; le pot de bière Cerclé de plomb, Moussant entre les larges pipes Qui, crânement, Fument : les effroyables lippes Qui, tout fumant, Happent le jambon aux fourchettes Tant, tant et plus : Le feu qui claire les couchettes Et les bahuts. Les fesses luisantes et grasses D'un gros enfant Qui fourre, à genoux, dans les tasses, Son museau blanc Frôlé par un mufle qui gronde D'un ton gentil, Et pourlèche la face ronde Du cher petit... Noire, rogue au bord de sa chaise, Affreux profil, Une vieille devant la braise Qui fait du fil ; Que de choses verrons-nous, chère, Dans ces taudis, Quand la flamme illumine, claire, Les carreaux gris !... - Puis, petite et toute nichée, Dans les lilas Noirs et frais : la vitre cachée, Qui rit là-bas... Tu viendras, tu viendras, je t'aime ! Ce sera beau. Tu viendras, n'est-ce pas, et même... ELLE - Et mon bureau ?
LUI. - Col tuo petto qui sul mio, Vero? andremo, D'aria piene le narici, nei Freschi raggi Del bel mattino azzurro, che ci bagna D'un vino di luce?… Quando rabbrividendo il bosco muto D'amore sanguina Da ogni ramo, gocce verdi, Chiare gemme, E nelle cose aperte sento Le carni fremere: Nell'erba immergerai la tua Bianca veste, Rosando all'aria il blu che cerchia I grandi occhi neri, Innamorata della campagna, Spargendo ovunque, Come una spuma di champagne, Gioioso riso: Ridendo a me, brutale D'ebbrezza, - così Ti prenderei, - che bella treccia, Oh! e berrei Il tuo sapore, lamponi e fragole, Oh carni in fiore! Ridendo al vento che vuol baciarti Ladro, vivace, Alla rosa di macchia impigliata A te, amabilmente: Ridendo soprattutto, pazza, al tuo Amante!… Diciassette anni! Sarai felice! Oh! vasti prati! Vasta campagna amorosa! - Di', vien più vicina!… - Col tuo petto qui sul mio, unendo Le nostre voci, Andremmo lenti fino al burrone E poi nei boschi!… Poi, come una piccola morta, Col cuore in estasi, Mi chiederesti di portarti, avresti Gli occhi socchiusi… Io ti porterei palpitante Per il sentiero: Gli uccelli fileranno un andante Au Noisetier… Ti parlerei nella bocca; andrei Stringendo il tuo corpo come Un bimbo da mettere a letto, Ebbro del sangue Che scorre azzurro sotto la tua pelle Bianco - rosata: Parlandoti con la schiettezza… Già!… - che tu sai… I grandi boschi saranno profumati Da linfa E il sole in sabbia d'oro fino, su quel sogno Verde e vermiglio. La sera?… Riprenderemo la strada Bianca, che va Svagata come un gregge al pascolo E intorno I dolci frutteti dall'erba azzurra, Dai meli contorti! Fin da lontano si sentono i loro Profumi forti! Torneremo in paese, il cielo Sarà quasi nero; nell'aria Della sera fiuteremo Un odore di latte; Fiuteremo un odore di stalla, Piena di caldo strame, Piena d'un ritmo calmo di fiati, E d'ampie groppe Biancicanti sotto un lume incerto; E, laggiù in fondo, Fiera, una vacca lascerà cadere A ogni passo lo sterco.. - Gli occhiali della nonna, Col lungo naso Nel messale; il boccale Contornato di peltro, Spumoso fra vaste pipe Che, impavide, Fumano: i labbroni orrendi, Sempre fumando, azzannano Dalle forchette il prosciutto Ancora, ancora e più: Il fuoco schiara le madie E le cuccette: Le natiche lucenti e grasse D'un grosso pupo Che, ginocchioni, ficca nelle tazze Il bianco muso Lambito da un grugno che bercia In tono gentile, Con leccatine alla faccia Del caro bambino… Nera, arrogante in punta di sedia, Odioso profilo, Davanti alla brace una vecchia Fabbrica filo; Cara, quante cose vedremo In queste topaie Quando la fiamma illuminerà, chiara, il grigio Delle finestre!… - Poi, piccolo e tutto annidato Nei lillà Neri e freschi: il vetro celato Che ride là in fondo… Tu verrai, ti amo, verrai! Sarà bello. Oh si, sarà bello, e vedrai… LEI. - E il mio capufficio?
Je suis le ténébreux,le ... .. tour d'Aquitaine......
Fier d'être africains ❤❤❤❤
Je suis fière d'être Africaine ❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤😊
C’est très émouvant ce souvenir d’un personnage connu de tout le monde et de personne
Je préfère qu'on me efiche la PAIX oaix
💕
Merci Poème appris à l'école d'échafauds il sans doute près de quarante ans à Redon.
Souvenirs d ' enfance !
Merci
Bien la poésie en plus je dois l' apprendre pour le 18/01/2025.😢😢
Moi demain
yako mon frere
🚾🚾🚾🚾🚾🚾🚾
🤬🤬🤬🤬🤬🤬🤬🤬🤬🤬